vendredi 5 décembre 2025
Nintendo-Town.fr
  • Accueil
  • News
  • Tests
  • Calendrier des Sorties
    • Anciennes sorties
  • Jeux
No Result
View All Result
  • Accueil
  • News
  • Tests
  • Calendrier des Sorties
    • Anciennes sorties
  • Jeux
No Result
View All Result
Nintendo-Town.fr
No Result
View All Result

Daemon X Machina: Titanic Scion (Nintendo Switch 2) – Le test

fire_akuma par fire_akuma
2 septembre 2025
dans Test Chaud, Tests Nintendo Switch 2
Temps de lecture: 12 mins
3
Daemon X Machina: Titanic Scion
Partager sur Facebook

Plongez au cœur d’un conflit interplanétaire où l’action effrénée règne en maître. Daemon X Machina: Titanic Scion, développé par Marvelous First Studio sous la direction de Kenichiro Tsukuda (créateur d’Armored Core) et avec les designs mécaniques époustouflants de Shoji Kawamori (Macross), marque une évolution spectaculaire pour la série. Exclusivement testé sur Nintendo Switch 2, ce jeu combine un monde ouvert immense, un système de combat profond et une narration sci-fi captivante, le tout optimisé pour la nouvelle génération de consoles Nintendo.

Daemon X Machina: Titanic Scion - Switch 2

300 ans

Daemon X Machina: Titanic ScionTitanic Scion se déroule 300 ans après le premier opus. Les humains de la planète rouge, bien déterminés à étendre leur influence, colonisèrent la planète bleue et modifièrent son environnement pour la rendre habitable.

283 ans plus tard, la planète bleue revendiqua son indépendance de Prime-Terre. C’est ainsi qu’éclata une guerre de 76 ans. À son terme, les deux planètes conclurent un traité de non-intervention. Tous les voyages interstellaires furent interrompus entre les deux astres.

Un système de défense fut mis en place, dont des ascenseurs orbitaux et des satellites de surveillance destinés à repousser les envahisseurs.

Des voix en faveur d’un nouveau monde se firent entendre sur la planète bleue et formèrent leur propre gouvernement, mais une anomalie apparut. L’énergie Femto utilisée durant la colonisation et la guerre conféra des capacités spéciales innées à certains individus. Ces êtres qualifiés de non-humains se firent appeler Outers.

L’énergie Femto provoqua la métamorphose de nombreuses autres créatures, les transformant en organismes agressifs : les Immortals.

Les Outers furent rejetés par la société, ce cruel traitement agrandissant le fossé qui les séparait de l’humanité. Ainsi advint la Grande Guerre, 369 ans après la colonisation, mais aussi la révolution des Outers, qui instaurèrent un strict régime militaire via l’Axiome Souverain.
Les trois leaders suprêmes de l’Axiome, surnommés les Trinitas, séparèrent la Surface, foyer des humains, du Jardin, le paradis aérien où les Outers élurent résidence. Les humains résistant à l’ordre de l’Axiome prirent le nom de Reclaimers.

Incarnant Nova, un Outer (humain mutant capable de manipuler l’énergie Femto), on est capturé par l’Axiome avant de s’échapper avec l’aide de son ami Nerve. Crashé sur la Planète Bleue, on rejoint les Reclaimers, un groupe de résistants luttant pour la liberté face à l’Axiome et aux Immortels, des créatures biomécaniques hostiles.

L’histoire est portée par des doublages japonais expressifs et des sous-titres en français. La narration est autonome : inutile d’avoir joué au premier jeu pour apprécier l’intrigue.

Un gameplay au service de la maniabilité

L’exploration constitue l’un des points forts du jeu. Ici, la structure linéaire des missions est abandonnée au profit d’un vaste monde ouvert, découpé en zones immenses qui rappellent l’ampleur de Xenoblade Chronicles X. On peut ainsi parcourir librement déserts, marécages et montagnes, que ce soit à pied, en véhicule (avec même des motos Transformers de combat), en volant ou même en combinant ces moyens de déplacement. La liberté est totale : rien n’empêche de délaisser l’histoire principale pour partir à la recherche de trésors cachés, de missions annexes, récolter des ressources ou débloquer de nouveaux points de téléportation. Le système de vol, en particulier, s’avère remarquablement fluide et intuitif. Un double saut suffit à activer ce mode qui permet de se déplacer en trois dimensions sans contraintes, à condition toutefois de surveiller l’énergie Femto nécessaire pour maintenir le vol, laquelle se recharge automatiquement ou en détruisant certains cristaux disséminés dans le décor. À côté de cette exploration, de nombreuses activités secondaires viennent enrichir l’expérience, entre combats d’arène, quêtes annexes, chasse aux trésors ou encore un étonnant jeu de cartes à collectionner intégrer dans l’univers.

Le cœur du gameplay reste centré sur les combats et la personnalisation de l’Arsenal. Chaque affrontement est l’occasion de tester la grande variété d’armes disponibles, réparties sur quatre emplacements distincts : mêlée, distance, épaules et auxiliaires. Épées, Masses de combats, katanas, fusils d’assaut, Bazooka ou encore missiles guidés, chaque équipement influe directement sur le style de jeu, modifiant la vitesse, le poids et la consommation d’énergie de l’Arsenal. Après chaque combat, un système de butin permet de récupérer une des pièces d’équipement sur chaque ennemis vaincus. Les statistiques comparées s’affichent immédiatement, incitant le joueur à faire des choix stratégiques en permanence.

Daemon X Machina: Titanic ScionÀ cela s’ajoute une nouveauté majeure : le système de Fusion, qui autorise l’intégration de Facteurs Immortels, sortes de gènes de créatures, afin de débloquer des compétences spéciales. En contrepartie, le personnage subit une altération physique progressive, matérialisée par des mutations qui rappellent la perte d’humanité. La gestion des ressources, notamment l’énergie Femto et l’endurance pour les esquives, devient essentielle, car une mauvaise anticipation peut rendre l’Arsenal extrêmement vulnérable.

Enfin, la maniabilité sur Nintendo Switch 2 se montre particulièrement réussie. Les contrôles sont précis et intuitifs : le stick gauche gère les déplacements tandis que le droit contrôle la caméra, avec un verrouillage de cible possible d’un simple clic. Les gâchettes sont réservées à l’arsenal offensif, ZL et ZR pour les armes principales, L pour l’armement d’épaule, et R pour l’esquive. Quant au vol, il s’active naturellement via un double saut.

Si l’interface riche peut sembler un peu complexe lors des premières heures, des tutoriels contextuels bien pensés viennent rapidement faciliter l’apprentissage de l’ensemble des mécaniques. Comme pour Xenoblade X, attention à ne pas skipper cette phase de tutoriel, sinon c’est le risque de passer à coté d’un pan complet du gameplay.

Techniquement aussi propre qu’agressif

Daemon X Machina: Titanic ScionLa bande-son, teintée de métal et de guitares électriques, accentue l’intensité des combats de boss. Les doublages japonais sont recommandés pour leur expressivité, mais la version anglaise est également de qualité. Les effets sonores des armes et des explosions sont percutants, immersifs en mode surround.

Le jeu bénéficie d’une direction artistique marquée, oscillant entre environnements désertiques, marécages inquiétants et vastes bases technologiques. Le style anime choisi confère une identité forte à l’ensemble, tandis que les designs des Arsenals et des Immortels, signés par Shoji Kawamori, réussissent à marier élégance et menace. Quelques textures manquent parfois de finesse, mais l’ensemble reste très plaisant à l’œil et cohérent avec l’ambiance.

Côté performances, l’expérience est fluide : en mode docké, le titre cible 1080p, Mais elle est généralement de 1664 x 936. Le jeu propose un framerate stable à 30 fps, hormis de très légers ralentissements lors de certaines transitions de zones, sans réel impact sur le confort de jeu. En mode portable, la définition reste nette et le rendu détaillé, avec une optimisation qui profite pleinement de la puissance de la console. Les effets de particules, les jeux de lumière et la rapidité des temps de chargement contribuent à renforcer cette impression de fluidité.

La durée de vie se révèle tout aussi généreuse. Comptez environ vingt heures pour suivre la trame principale en ligne droite, mais l’exploration libre et les nombreuses quêtes secondaires permettent de prolonger facilement l’aventure, triplant presque le temps de jeu. La rejouabilité est assurée par une personnalisation extrêmement poussée de l’Arsenal, qu’il s’agisse des armes, armures, modules ou simples éléments cosmétiques.

Le mode coopératif en ligne, jouable jusqu’à trois joueurs dans l’histoire et les affrontements contre les boss « cachés », ouvre la porte à des dizaines d’heures supplémentaires. Le système de fusion incite également à expérimenter différentes combinaisons pour renouveler constamment l’approche des combats. Enfin, le studio a déjà annoncé un suivi post-lancement, avec des packs d’extension comprenant de nouvelles missions ainsi que des tenues inédites, de quoi garantir une expérience durable et en constante évolution.

La bande-son de Daemon X Machina: Titanic Scion hérite des bases énergiques de son prédécesseur, tout en s’appropriant l’ampleur du monde ouvert. Les compositions, mêlant guitares électriques percutantes et orchestrations épiques, accompagnent à merveille l’action frénétique des combats et l’exploration des étendues planétaires. Durant les phases d’exploration libre, les thèmes se font plus atmosphériques et ambient, créant une immersion sonore qui souligne tantôt la solitude des déserts, tantôt la menace des marécages empoisonnés.

Le véritable highlight audio réside dans les thèmes de boss, des morceaux punchy et entraînants qui amplifient considérablement l’intensité et l’échelle titanesque de ces affrontements. Le doublage japonais est recommandé pour sa cohérence avec l’univers anime, bien que la version anglaise soit de très bonne facture. Les effets sonores sont tout aussi soignés : le vrombissement des réacteurs de l’Arsenal, le crépitement des lasers, le grondement des explosions et les bruits métalliques des armes de mêlée contribuent grandement à l’immersion et au feedback tactile des combats. Le mix audio sur Nintendo Switch 2 est clair et dynamique, que ce soit sur les enceintes intégrées ou au casque.

Conclusion

8.3 /10

Daemon X Machina: Titanic Scion est une réussite spectaculaire sur Nintendo Switch 2. Alliant un monde ouvert passionnant à explorer, un combat rapide et profond, et une customisation quasi-infinie, il est un nouveau standard pour les jeux mecha. Malgré une interface parfois trop riche et une courbe d'apprentissage abrupte, il offre une expérience immersive et durable, portée par des performances techniques solides et une direction artistique inspirée même si parfois critiquable. Indispensable pour les fans d'action et de sci-fi.

LES PLUS

  • Monde ouvert immense et réussi
  • Une grande liberté d'exploration (à pied, véhicule, vol)
  • Un large choix d'armes et d'équipements
  • Personnalisation poussée de l'Arsenal
  • Nouveau système de Fusion (Facteurs Immortels)
  • Maniabilité et contrôles fluides et intuitifs, notamment le système de vol
  • Direction artistique forte et designs réussis pour les mechas
  • Durée de vie très généreuse
  • Mode coopératif en ligne jusqu'à 3 joueurs
  • Bande-son immersive et doublages expressifs
  • Un jeu de carte annexe complet et complexe

LES MOINS

  • Interface riche qui peut sembler complexe lors des premières heures
  • Courbe d'apprentissage assez abrupte
  • Quelques textures manquant parfois de finesse
  • De très légers ralentissements lors de certaines transitions de zones

Détail de la note

  • Histoire 0
  • Gameplay 0
  • Technique 0
  • Durée de vie 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
Article Précédent

Pokémon Unite : Mega Lucario, Mega Charizard X et d’autres Méga-Évolutions bientôt disponibles

Article Suivant

Hollow Knight: Silksong – Une mise à niveau gratuite de la Switch vers la Nintendo Switch 2 confirmée

fire_akuma

fire_akuma

Webmaster à votre service ! Il y a des articles sous les titres. ¯\_(ツ)_/¯

Related Posts

Square Enix annonce OCTOPATH TRAVELER 0 et The Adventures of Elliot sur Switch 2
Test Chaud

Octopath Traveler 0 (Nintendo Switch 2) – Le test

Metroid Prime 4: Beyond
Test Chaud

Metroid Prime 4: Beyond (Nintendo Switch 2) – Le test

On connait le prix de Inazuma Eleven: Victory Road et le planning des mises à jours gratuites sur Nintendo Switch 2
Test Chaud

Inazuma Eleven: Victory Road (Nintendo Switch 2) – Le test

Comments 3

  1. Neffin says:
    3 mois ago

    Merci pour la qualité de tes tests.
    Au regard d’autres sites, tu ne t’attardes pas sur ce que le joueur doit découvrir par lui même, combien de fois je me suis fais micro-spoiler ailleurs.
    Non, toi tu prends les différents aspects qui font le jeu et de manière toujours balancé, tu parles du positif et du négatif sans trop en faire pour l’un comme pour l’autre, toujours concis.
    Merci et bonne continuation.
    PS: hâte de voir ce que tu vas penser de Elden Ring (d’ailleurs, GKC ou full game ?) et SW Outlaw qui me tentent bien, et n’ayant qu’une Switch 2, j’ai beaucoup de jeu « passés » à faire.

    Répondre
  2. Benjamin says:
    3 mois ago

    J’ai testé la demo sur switch 2 en portable et c’était absolument catastrophique avec des graphismes indignes même d’une switch 1 et une maniabilité totalement aux fraises (en gros c’est tellement lent et moche qu’on ne comprend rien à ce qui se passe).
    Donc, à moins que le jeu ait reçu un énorme patch à sa sortie, le testeur se fout royalement la gueule du monde ( et je reste poli).

    Répondre
    • fire_akuma says:
      3 mois ago

      En effet, je me fout de la gueule du monde, mais surtout de toi 😀

      Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

8.3
Daemon X Machina: Titanic Scion
Date de sortie : 05/09/2025
Amazon eShop

Note finale

8.3
  • Histoire 0
  • Gameplay 0
  • Technique 0
  • Durée de vie 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0

LES PLUS

  • Monde ouvert immense et réussi
  • Une grande liberté d'exploration (à pied, véhicule, vol)
  • Un large choix d'armes et d'équipements
  • Personnalisation poussée de l'Arsenal
  • Nouveau système de Fusion (Facteurs Immortels)
  • Maniabilité et contrôles fluides et intuitifs, notamment le système de vol
  • Direction artistique forte et designs réussis pour les mechas
  • Durée de vie très généreuse
  • Mode coopératif en ligne jusqu'à 3 joueurs
  • Bande-son immersive et doublages expressifs
  • Un jeu de carte annexe complet et complexe

LES MOINS

  • Interface riche qui peut sembler complexe lors des premières heures
  • Courbe d'apprentissage assez abrupte
  • Quelques textures manquant parfois de finesse
  • De très légers ralentissements lors de certaines transitions de zones

Derniers tests

Wizard of Legend 2 (Nintendo Switch) – Le test

Wizard of Legend 2 (Nintendo Switch) – Le test

House Fighters: Total Mess

House Fighters: Total Mess (Nintendo Switch) – Le test

Mistonia’s Hope -The Lost Delight- (Nintendo Switch) – Le test

Mistonia’s Hope -The Lost Delight- (Nintendo Switch) – Le test

WINDSWEPT

WINDSWEPT (Nintendo Switch) – Le test

Dora : Sauvetage en forêt tropicale

Dora : Sauvetage en forêt tropicale (Nintendo Switch) – Le test

Venez sur notre Discord


Soutenez Nintendo-Town sur Tipeee
Nintendo-Town.fr

© 2023 Nintendo-Town

Naviguer sur le site

  • L’équipe
  • Contact
  • Politique de confidentialité

Nous suivre

No Result
View All Result
  • Accueil
  • News
  • Tests
  • Calendrier des sorties
  • Anciennes sorties
  • Jeux

© 2023 Nintendo-Town