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Drawngeon: Dungeons of Ink and Paper (Nintendo Switch) – Le test

martien par martien
13 janvier 2020
dans Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 5 mins
6
Drawngeon: Dungeons of Ink and Paper arrive sur Nintendo Switch
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Certains jeux se démarquent des autres productions dès le premier regard, et c’est le cas avec Drawngeon : Dungeons of Ink and Paper qui étonne et détonne par son style crayonné en noir et blanc avec quelques touches de couleurs. Mais la forme ne fait pas tout, encore faut-il que le fond suive…. Qu’en est-il avec Drawngeon ?

S’il te plaît dessine-moi un mouton

C’est sûr que Drawngeon : Dungeons of Ink and Paper ne passe pas inaperçu au milieu des autres sorties de l’e-shop. Que l’on aime ou pas les graphismes, le parti-pris est radical et apporte quelque chose d’assez hypnotique au jeu. Dans ce jeu, comme dans tout RPG qui se respecte, il va falloir explorer un univers médiéval fantastique et combattre les forces du mal. On se déplace de case en case comme dans Dungeon Master ou plus récemment Vaporum ou encore Legend of Grimrock.

On se déplace à la recherche de loot et d’ennemis à tuer pour gagner des points d’expérience et monter en niveau pour améliorer nos capacités. Attention, Drawngeon reste un jeu à l’ancienne pour plusieurs raisons. D’abord, quand on meurt, on recommence au début, au tout début ! On va donc devoir refaire les mêmes quêtes et explorer les mêmes donjons. Seul luxe tout de même, en perdant on gagne des points que l’on peut réinvestir dans la partie suivante en achetant du matériel, des armes, de l’armure. Ensuite, il n’y a pas de didacticiel ou d’explications quelconques. On est lâché dans le jeu sans trop comprendre ce qu’on doit y faire et on tâtonne. On tâtonne tellement qu’on peut boire une potion mortelle par inadvertance et perdre quelques heures de progression, et ça, c’est rageant.

Un joli et mignon petit mouton que je puisse occire d’un coup de hache….

On apprend donc par l’échec dans Drawngeon. On se fait avoir une fois ou deux et on comprend finalement ce qu’on attend de nous et là, miracle, on commence à s’amuser. On a envie d’aller plus loin, mais on comprend vite aussi l’intérêt des parchemins de téléportation et l’impérieuse nécessité de veiller attentivement à nos points de vie. L’arbre de compétences est assez simpliste. On augmente notamment la capacité de sa besace pour récolter un maximum d’objets dans notre quête.

L’ergonomie de Drawngeon est assez particulière. Comme dans les vieux jeux de rôle à la fin des années 80, notre inventaire, nos statistiques et la mini-carte prennent bien la moitié de l’écran, et on se retrouve à jouer sur une petite fenêtre centrale. Graphiquement, l’effet crayonné rend très bien sur l’écran de la Switch. De temps en temps, des petites traces de couleur apparaissent, rouges, bleues, vertes ou jaunes, ces traces de couleur égayent un peu ces paysages en noir et blanc.

S’il y a une chose vraiment dommage dans ce jeu, c’est l’absence de musique. Quelques sons caractéristiques se font entendre, notamment quand un ennemi est à portée d’épée, mais c’est bien le maximum sonore que l’on peut avoir. Une autre particularité aussi réside dans son système de sauvegarde. Lorsque l’on veut sauver sa partie, cela signifie qu’on la quitte pour le même coup. L’idée qui sous-tend est de progresser au maximum dans son aventure, en sachant pertinemment que la moindre erreur réduira nos efforts à néant. C’est là toute la difficulté et la beauté de la chose. On n’est plus trop habitué à ce genre de comportement dans un monde vidéoludique actuel où tout est fait pour faciliter la tâche du joueur et son plaisir immédiat.

Conclusion

6.5 /10

Drawngeon : Dungeons of Ink and Paper est un jeu dur voire même frustrant car il est vraiment abrupt et difficile d’accès. Pour autant, si on s’accroche, on va passer un très bon moment avec une envie d’y revenir pour découvrir tous les secrets de l’univers qui nous est proposé. Et surtout on éprouvera une vraie satisfaction de joueur d’avoir fait progresser notre personnage dans un monde mortel, virtuel mais mortel.

LES PLUS

  • Une direction artistique unique
  • Un vrai jeu old-school
  • Un challenge auquel on n’est plus habitué

LES MOINS

  • Une approche abrupte
  • Pas de musique

Détail de la note

  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Jouabilité 0
  • Durée de vie 0
  • Difficulté 0
  • NOSTALGIE 0
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martien

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Fan de Big N depuis la Gameboy, j'ai débuté les JV sur Atari ST. Bref, je suis un vieux joueur, mais j'aime les nouveautés autant que les jeux rétros (sauf le mauvais pixel-art)

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Comments 6

  1. Christian says:
    6 ans ago

    merci pour le test. Apres Heroes of the Monkey Tavern je suis devenu méfiant.
    ça me fait beaucoup penser à Bard’s tale qui était aussi bien brutal en son temps 🙂

    Répondre
  2. Manuto says:
    6 ans ago

    J’adofe
    Ca me rapelle mes parties sur les premier Might and magic

    Répondre
  3. martien martien says:
    6 ans ago

    merci pour vos commentaires. Ca ressemble aussi à « Crypt of the Serpent King » sur Switch que l’on trouve assez souvent en promo d’ailleurs sur l’eshop

    Répondre
  4. JulieSailing says:
    6 ans ago

    Ce jeu à l’air quand même assez spécial ‘-‘
    Merci pour le test en tout cas 🙂

    Répondre
    • martien martien says:
      6 ans ago

      c’est vrai que le jeu est spécial, mais c’est bien que la switch propose ce genre d’expérience, même si ça ne convient pas à tout le monde 😉

      Répondre
      • Manuto says:
        6 ans ago

        oui, ca reste un jeu de niche, mais comme les indés savent les faire

        Répondre

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Note finale

6.5
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Jouabilité 0
  • Durée de vie 0
  • Difficulté 0
  • NOSTALGIE 0

LES PLUS

  • Une direction artistique unique
  • Un vrai jeu old-school
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