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Absolum (Nintendo Switch) – Le test

Lordo par Lordo
27 octobre 2025
dans Test Chaud, Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 14 mins
7
Absolum (Nintendo Switch) – Le test
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Dotemu, un studio français qui a la cote ! Ils ont comme passion de sublimer des styles de jeux ou de graphismes. Après avoir réussi à remettre au goût du jour le genre Beat Them Up avec Streets of Rage 4 ou encore Teenage Mutant Ninja Turtles: Shredder’s Revenge, ils décident cette fois-ci de ne pas jouer sur la corde nostalgique et d’utiliser une licence existante avec l’arrivée d’une création complète : Absolum ! Après avoir expérimenté le genre roguelite avec Metal Slug Tactics, ils continuent sur leurs lancées avec notre jeu du jour. Mais est-ce que ce mélange fonctionne bien ? Eh bien prenez votre plus belle épée, préparez vos meilleurs contres et esquives : c’est parti pour Absolum !

ABSOLUM Nintendo Switch

Un univers en sursis

AbsolumTalahm, un royaume anciennement prospère et magique. Une magie était au centre de tout et faisait la grandeur du royaume : la magie de la vie. Mais un jour un cataclysme énorme survint et ravage le monde de Yeldrim. Le Roi Soleil Azra en profite et séquestre les mages indépendants, empêchant donc la prolifération de la magie. Pour le bien commun, évidemment ! Lui et son Ordre, Pourpre, vont alors régner sur le royaume. Nous allons donc être « la résistance », un groupe de rebelles au départ constitué de Galandra et Karl, puis rejoint ensuite par Cider et Brome. Ces rebelles sont dirigés par la dernière Sœur-Racine, un ordre qui était au cœur de la magie de la vie.

L’histoire est donc plutôt simple : un pouvoir est présent, une catastrophe débarque, un méchant décide de prendre le pouvoir lors de ce chaos et de faire en sorte que les gens ne puissent pas avoir plus de pouvoir pour le faire tomber, puis un groupe se retrouve et se réunit pour le faire tomber. La narration est simple mais efficace, elle pourrait être mieux c’est sûr, mais elle a cette force d’être cohérente et presque omniprésente. Le nombre de PNJ est relativement faible, ce qui accentue cette idée de fin d’une ère, et surtout ça leur donne une certaine consistance. Agréable, mais pas forcément mémorable.

Un « Rogue ‘Em Up » ? « Rogue Them All » ? Un Beat Them All avec du roguelite à l’intérieur ?

Pour commencer, on va résumer rapidement ce qui va suivre : le gameplay déchire ! Maintenant nous allons voir pourquoi.

Derrière Absolum, il y a plusieurs belles équipes. Dotemu bien sûr, mais surtout Guard Crush Games, mais si… le studio derrière le petit Street of Rage 4 ! On vous en parlait en introduction, mais c’est le jeu qui a remis au goût du jour un genre qui, bien que n’ayant jamais vraiment disparu, réussit rarement à briller par sa maitrise. Même si c’est moins le cas ces dernières années, Street of Rage 4 est resté dans la mémoire de tous ceux qui ont eu la chance de mettre leurs mimines dessus.

Et clairement Absolum est maitrisé, tellement qu’il pourrait voler la vedette à Street of Rage 4 sans problème. Le gameplay est bourrin, c’est un joyeux bordel, mais formidablement maitrisé. Pour ce faire vous allez avoir les choix assez classiques : sauter, avancer, reculer, vous déplacer de bas en haut – car ce n’est pas un scrolling 2D, mais bien avec de la profondeur –, coup faible, coup fort, esquiver et utiliser une technique spéciale nommée « arcane ». Bref, un gameplay bien complet. Surtout qu’il est bien plus intéressant qu’il n’en a l’air. Vous allez pouvoir attraper les adversaires, mais aussi si vous esquivez au bon moment alors vous allez faire une « déviation » qui va vous permettre de placer un « contre dévastateur ». Avec un timing encore plus faible vous pourriez bien placer une attaque « spéciale (X) » au moment où l’ennemi va attaquer pour aussi réaliser un « contre » et mettre l’ennemi à la merci d’un « contre dévastateur ». Vous avez aussi le classique récupération d’objet à lancer sur les adversaires. Et bien sûr, la fameuse « attaque ultime », mais qui débarquera après quelques parties.

Le gameplay est donc solide, très solide, mais par-dessus ça ils ont eu la formidable idée de rajouter une partie aléatoire. Les compétences, axées au départ autour des éléments classiques comme le feu, l’eau, l’électricité, vous aurez plus tard accès à des choses plus sympas comme le temps ou la nécromancie. Ces pouvoirs sont aléatoires, des synergies vont se débloquer avec le temps, si au départ on espère tomber sur les dégâts de feu à chaque coup de base, par la suite on appréciera avoir d’autres types de pouvoir.

Lorsqu’un niveau se termine, souvent après 2 « zones » d’ennemis, un bonus vous sera offert. Un pouvoir, des pierres précieuses qui servent à la partie roguelite pour augmenter vos statistiques pour les prochaines aventures, de l’argent à dépenser au magasin en cours d’aventure ou encore un objet, plutôt divers qui là aussi amélioreront vos statistiques pour l’aventure en cours.

La partie roguelite est donc plutôt faible, et ce n’est finalement pas plus mal. Elle vous aide, notamment avec le déblocage de la résurrection après une mort, au départ une seule qui vous redonne 25% et rapidement ce pourcentage augmente et une seconde résurrection débarque. Mais à côté vous pourrez aussi améliorer les différentes montures que vous trouverez dans le jeu (au nombre de 4), mais aussi vos statistiques de base comme vos points de vie ou vos dégâts de rebond, etc. Histoire d’avoir un coup de pouce, car le jeu est difficile ! Pas insurmontable, mais pas facile non plus. C’est d’ailleurs un super équilibrage, car on ne roule pas sur le jeu au cours de notre première partie, mais on ne bute pas non plus 10h sur la première région.

Une progression sublime et bien faite

AbsolumEt justement, parlons de cette progression dans les régions. 4 régions sont disponibles, la première et la dernière sont fixes, la seconde peut être différente, le jeu vous impose un peu le choix régulièrement, ce qui donne quelques différences à chaque partie, mais ces régions ne sont pas un simple enchainement de 3-4 zones, elles sont vastes. Et magnifiques. Il n’y a pas de procédural, tout est dessiné et défini à la main. Et c’était le meilleur choix possible, tout est propre, calé, jamais de soucis de collision ou de choses étranges, le jeu est parfait visuellement. Certains plans sont même sublimes, comme quand on ne voit que l’ombre de nos personnages, quel bonheur pour les mirettes ! Visuellement on sent une inspiration tirée des BD et des comics, Hellboy nous saute aux yeux quand on voit la coloration et le style, mais le choix visuel a été ingénieux. Dans ce style de jeu et ce qu’on nous offre ces derniers temps, c’est souvent de la dark fantasy, du sombre, violent, qui fait « peur », ici c’est coloré, sublime et propre, le jeu de lumière sur ces dessins est parfait.

Ces zones en plus d’être sublimes sont vastes, si l’on prend la forêt de départ, la première zone vous offre votre premier pouvoir pour la partie. Cool, ensuite il faut choisir : la plage ou s’enfoncer dans la forêt, on ne peut pas revenir en arrière, cela va donc définir votre avancée et votre chemin pour cette partie. Allez on choisit la plage : c’est parti ! Après quelques zones, nous tombons sur un lieu de repos (super, on reprend un peu de vie !) mais là on découvre une porte qu’on ne peut franchir. Mince, obligé d’avancer alors. Mais cette porte se débloquera plus tard, nous allons donc avancer et aider un gars, qui va alors reconstruire le pont, ce qui nous offrira un chemin alternatif pour la prochaine fois. Et c’est le cas tout le temps, quand vous découvrirez des PNJ. Vous allez aussi débloquer des missions, qui seront pour la plupart de choisir un certain chemin, de vaincre des adversaires et donc de débloquer un futur chemin alternatif, les niveaux sont donc très complets. La peur d’avoir des niveaux toujours les mêmes et redondants, surtout avec cette absence de procédural nous faisait peur. Mais finalement chaque partie que nous avons faite nous a permis de toujours voir un petit truc nouveau à chaque fois, un véritable plaisir et surtout un lore qui s’écrit tout le long. Au cours de chaque voyage, vous allez avoir un ou deux mini-boss qui vous donneront des récompenses très agréables, puis des boss de fin de région. Ces boss sont très beaux, très imposants, mais finalement un peu simples et sacs à PV, les patterns ne sont pas à la hauteur du fun présent dans le jeu, dommage.

Absolum est jouable entièrement à deux, en local bien sûr, mais aussi en ligne. Ce qui est agréable en ligne, c’est que le niveau et la progression de l’histoire vont se caler sur la personne la plus faible, mais nous ne perdons pas nos stats pour la personne la plus avancée. Nous allons donc pouvoir aider l’autre et surtout garder les gemmes obtenues et donc continuer à améliorer nos prochaines runs. Car il y aussi un niveau global, quand vous jouez vous allez faire des points, qui vont se transformer en expérience, nous permettant d’améliorer des compétences ou bien débloquer de nouveaux arcanes (les techniques spéciales des personnages). Arcane qui est à choisir en début de partie, mais après un mini-boss vaincu nous allons parfois en avoir une seconde ou une compétence qui change un peu le gameplay, des bons non négligeables. Les développeurs annoncent une difficulté à deux 30% plus haute, avec plus d’ennemis et qui auront plus de PV, sans être insurmontables, au contraire, le jeu à deux est une perle. Nous avons fait le test avec une personne qui n’est pas spécialement joueuse au départ, et bien que ça ne soit pas son truc, la prise en main a été instantanée pour elle, l’addiction est vite arrivée et rapidement une seconde, puis une troisième, puis une quatrième partie se sont enchainées, c’est dire que le jeu a un certain charme !

Si une dizaine d’heures sont suffisantes pour en faire le tour en solo, afin de tout voir et de vous amuser à tout débloquer et améliorer, vous allez augmenter la durée de vie d’encore une dizaine d’heures. Ce qui est déjà plutôt long pour ce genre de jeu. Vous pourrez raccourcir ou rallonger l’expérience avec les options d’accessibilité, qui vous permettront de choisir deux choses : votre capacité à prendre des dégâts et celle d’en infliger. De 100% (dégâts normaux) à 0% pour la vie (invincible), les dégâts pourront aller de 50% (moins de dégâts) à 500% ! Dispensable et non obligatoire, si vous jouez avec quelqu’un de moins habitué ou si vous souhaitez juste découvrir l’histoire, à vous de faire vos choix ou de laisser sur les valeurs par défaut.

Le titre est disponible sur l’eShop au prix de 24,99 euros.

Conclusion

9.3 /10

Absolum est une véritable perle, magnifique visuellement, une ambiance sonore et des musiques impeccables, avec une mention spéciale pour les musiques des boss faites par Gareth Coker (Ori, Halo Infinite), en collaboration avec Yuka Kitamura (Dark Souls, Elden Ring) et Mick Gordon (Doom Eternal, Atomic Heart). Un gameplay impeccable qui ferait passer un Street of Rage 4 pour un jeu « à l’ancienne », nerveux, complet et addictif. Saupoudré d’éléments roguelite qui certes ne révolutionnent finalement pas le principe, mais rajoutent un côté aléatoire et un sentiment de progression intéressant. Une progression dans les niveaux et l’histoire qui, malgré l’absence de procédurale avec ses multiples chemins, nous crée une impression de progression différente à chaque partie. Un équilibre presque parfait, nous n’avons pas réussi à trouver de build qui « casse » le jeu. On regrettera finalement de n’avoir que 4 personnages qui ne changent drastiquement pas le jeu, bien que changeant assez de choses dans leurs mouvements pour se différencier les uns des autres. Si vous avez aimé Street of Rage 4, les ambiances graphiques à la Hellboy et tout ce qui est dessiné à la main, vous aurez du mal à lâcher Absolum avant d’en avoir bouclé l’histoire !

LES PLUS

  • Les graphismes, visuellement tout est simplement magnifique
  • Avoir réussi à inclure du roguelite équilibré qui ne dénature pas le genre
  • Dépoussière le genre du Beat Them All sans renier le passé
  • Les musiques par de grands compositeurs
  • Agréable en solo, génial en duo
  • Un mode en ligne avec une progression bien réfléchie et expliquée dans le jeu
  • Un gameplay au poil avec plein de subtilités
  • Un joyeux bordel organisé
  • Une bonne durée de vie (10-20h) pour le genre
  • Des options d’ajustement (dégâts reçus / infligés) présentes, optionnelles et agréables

LES MOINS

  • Seulement 4 personnages
  • Personnages qui ne changent drastiquement pas le gameplay
  • Une difficulté, sans être absurde, qui peut refroidir les moins aguerris

Détail de la note

  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Maniabilité 0
  • Contenu 0
  • Durée de vie 0
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Comments 7

  1. G says:
    2 mois ago

    Hellboy vous saute aux yeux ?? ou comment dire que vous avez jamais lu Hellboy

    Répondre
    • Lordo says:
      2 mois ago

      Je ne vais pas me justifier sur le fait que j’ai déjà lu un Hellboy ou pas (même si le fait d’avoir fait partie de MDCU pendant un bon bout de temps est une excuse en soit). Après si vous ne savez pas différencier une colorisation d’un style de dessin grand bien vous en fasse.

      L’inspiration Hellboy (que j’ai préféré cité plutot que son créateur Mike Mignola) dans les traits des personnages, le style de dessins avec peu de détails et un jeu d’ombre poussé et justement une colorisation à base de gros applat de couleurs est totalement dans le style de Mignola, sans parler que même Supamonks en interview on cité Mignola et Hellboy justement comme oeuvre qui les as inspirés pour Absolum.

      Répondre
  2. Nano says:
    2 mois ago

    Rien de personnel, mais quand je lis que le gameplay de ce jeu rendrait obsolète celui de Streets of Rage 4, je ne suis pas sûr qu’on aie joué aux même jeux…
    Moins de coups, moins de combos, moins (pas?) de cancels, moins de personnages qui sont moins distincts dans leurs movesets, 2-3 vagues d’ennemis par tableau dans Absolum contre des hordes plusieurs fois par niveau dans SoR4… Pour compenser on a le choix entre plusieurs Specials et quelques éléments de rogue-like assez limités.
    Streets of Rage 4 est un jeu qu’on peut full combo du premier au dernier niveau, dont chaque niveau de difficulté force à adopter une stratégie différente, qui permet de jouer avec les i-frames ou simplement de rentrer dans le tas. Je n’ai pas encore fini Absolum mais je n’y trouve pas ces éléments. C’est objectivement un jeu aux mécaniques de combat plus basiques…
    il est plus selon moi une très bonne évolution roguelike de King of Dragons de Capcom, qui prend des éléments de SoR4 et (quelques) éléments d’Hades. Ce n’est absolument pas un mauvais jeu, mais il est facilement vendu comme un SoR4 killer un peu partout, d’où ma déception. (Je ne mets pas SoR4 sur un piédestal inatteignable, j’espérais un jeu aussi bon ou meilleur et pour moi on n’y est pas)
    Enfin, la version Switch est relativement réussie, mais oscille en permanence entre 15 et 60fps en portable, là ou SoR4 ou Shredder’s Revenge sont des portages techniquements parfaits. Et pourtant sur SoR4 en Mania, il y en a des choses à animer…
    A part ces deux points, dont le premier reste subjectif je l’avoue, très bon test !

    Répondre
    • Lordo says:
      2 mois ago

      Pas de soucis, c’est pour ça d’ailleurs que j’utilise le conditionnel, la formulation est importante. J’ai passé personnellement bien plus de bon temps et de plaisir sur Absolum que je trouve rafraichissant, que sur SoR4 que j’ai trouver ennuyeux et « à l’ancienne », mais encore une fois c’est comme la guerre « Final Fantasy vs Dragon Quest » c’est comme comparer deux restau étoilé et finir par dire « je préfère celui là » ce qui n’implique pas que l’autre est nul, mais que l’on préfère l’un par rapport à l’autre.

      Concernant les FPS, je vais avouer que j’ai principalement jouer à deux joueurs et donc en docker, sur mes parties en portable en revanche je n’ai pas constater de baisse de framerate flagrante (j’ai du finir 2 ou 3x une run en portable).

      Et merci en tout cas de nous avoir lu et d’avoir poster un petit commentaire c’est sympa ! 🙂

      Répondre
      • Nano says:
        2 mois ago

        Hello Lordo, merci beaucoup pour ta réponse, c’est super sympa ! 🙂 En fait je viens faire un update sur mon propre post pour aller finalement dans ton sens : le gameplay est effectivement plus riche que SoR4, il fallait que j’avance un peu pour le voir ^^ la dimension esquive / déviation / contre est un vrai plus, et j’ai trouvé mes i-frames (avec des fenêtres plus courtes, il est moins possible d’en abuser). Le seul point pour lequel SoR4 garde une longueur d’avance pour moi sont les combos, je trouve que ceux d’Absolum sont moins intuitifs (du moins en comparant mes mains respectifs Shiva et Cider). Je rêve maintenant d’un SoR5 avec ces mécaniques es de défense 🙂
        Pour les FPS, c’était catastrophique (15fps au début de chaque écran) sur firmware 20.0.4 qui empêchait d’installer le dernier patch. Rien qu’en uogradant le firmware c’était bien mieux, et le patch peaufine encore. Paradoxalement maintenant c’est la version portable qui est la plus constante sauf sur les derniers boss où ça tousse, mais la version dockée a des soucis un peu plus fréquents un peu plus tôt. Je pense qu’ils vont améliorer ça.
        Merci encore pour ton retour !

        Répondre
        • Lordo says:
          2 mois ago

          Je joue sur Switch 2, peut être aussi que ça aide (tu es peut être sur la Switch 1/Oled ?). Mais de mon côté effectivement à part à la fin, ou quand on joue à deux et qu’il y a beaucoup de truc à l’écran, ça ne tousse pas vraiment. En tout cas pas au point d’être injouable ou PowerPoint 🙂

          Absolum est un jeu qui s’étoffe beaucoup au fil des partie, je trouve ça plutôt agréable sur les 10 premières heures d’avoir à chaque fois des petites nouveautés.

          Répondre
  3. Nano says:
    2 mois ago

    Oui Switch 1 pour moi, j’ai oublié de préciser 🙂

    Répondre

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9.3
Absolum
Date de sortie : 09/10/2025
Amazon eShop

Note finale

9.3
  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Maniabilité 0
  • Contenu 0
  • Durée de vie 0

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  • Les graphismes, visuellement tout est simplement magnifique
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  • Dépoussière le genre du Beat Them All sans renier le passé
  • Les musiques par de grands compositeurs
  • Agréable en solo, génial en duo
  • Un mode en ligne avec une progression bien réfléchie et expliquée dans le jeu
  • Un gameplay au poil avec plein de subtilités
  • Un joyeux bordel organisé
  • Une bonne durée de vie (10-20h) pour le genre
  • Des options d’ajustement (dégâts reçus / infligés) présentes, optionnelles et agréables

LES MOINS

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