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Assassin’s Creed Shadows (Nintendo Switch 2) – Le test

Lordo par Lordo
6 décembre 2025
dans Test Chaud, Tests Nintendo Switch 2
Temps de lecture: 20 mins
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Assassin’s Creed Shadows
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Sorti le 20 mars sur consoles de dernières générations, Assassin’s Creed Shadows avait tout naturellement esquivé la Nintendo Switch. Mais après un portage qualitatif de Star Wars Outlaws qui n’a cessé d’avoir des mises à jour d’amélioration, Ubisoft a décidé de nous proposer Assassin’s Creed Shadows sur Nintendo Switch 2. Bien évidemment nous avions hâte de pouvoir mettre la main dessus, la trilogie Origins-Odyssey-Valhalla n’ayant pas eu la chance de sortir chez nous, c’est donc enfin la possibilité de jouer à un Assassin’s Creed moderne, avec sa touche de RPG. Mais est-ce que les concessions faites pour sortir sur Switch 2 sont acceptables ? Est-ce que se balader au Japon aux côtés de Naoe et Yasuke est intéressant ? Eh bien nous vous proposons d’enfiler votre plus belle lame secrète, c’est parti pour Assassin’s Creed Shadows !

Assassin’s Creed Shadows Switch 2 KEY CARD Edition

Le Japon à feu et à sang

Assassin’s Creed ShadowsNous voilà propulsés en 1579, en plein cœur du Japon féodal. Le pays est déchiré, les clans se battent pour le pouvoir, c’est le chaos. On débarque d’un côté avec Naoe, une jeune femme qui vit tranquillement dans la province d’Iga avec son père, un maître shinobi qui lui enseigne l’art de l’ombre et de l’assassinat. La vie suit son cours, elle s’entraîne, progresse, et tout pourrait aller pour le mieux. Un soir, des soldats masqués débarquent, massacrent tout le monde, tuent son père sous ses yeux et repartent avec une mystérieuse boîte dont on ne sait rien. Voilà Naoe seule, dévastée, avec une seule obsession : retrouver ces soldats et leur faire payer.

De l’autre côté, nous avons Yasuke. Yasuke, c’est un personnage historique qui a réellement existé. Un homme d’origine africaine, ancien esclave, qui a été recueilli par le grand Oda Nobunaga en personne. Nobunaga est un seigneur de guerre puissant et respecté qui voulait unifier le Japon. Yasuke devient alors son samouraï, son garde du corps, son bras droit. Il apprend le maniement du sabre, les codes de l’honneur, toute la philosophie du bushido.

Après ces introductions, surprise, on se retrouve coincé avec Naoe pendant une bonne dizaine d’heures ! Yasuke disparaît complètement de la circulation pendant tout ce temps. On suit uniquement l’histoire de Naoe, sa quête de vengeance, ses premiers pas dans le monde des Assassins. Elle doit éliminer ses premières cibles, notamment deux gros bonnets de l’organisation ennemie, et c’est seulement après avoir accompli ces missions que les choses vont changer.

Naoe va finir par croiser le chemin d’Oda Nobunaga lui-même, et cette rencontre va tout changer. Suite à cet événement, Yasuke se lance à la traque de la shinobi. Il va la localiser dans un château, en pleine tempête. Un affrontement entre deux personnes que tout oppose : la shinobi vengeresse et le samouraï loyal à Nobunaga. Mais comme on s’en doute, cette confrontation va finalement les amener à comprendre qu’ils partagent plus de choses qu’ils ne le pensaient. Leurs chemins, bien que différents, convergent vers un même but. C’est à partir de ce moment-là, qu’on peut enfin jouer Yasuke et alterner entre les deux personnages comme bon nous semble, sauf pour quelques missions spécifiques à l’un ou l’autre.

Le scénario nous balade à travers ce Japon en guerre, on croise des figures historiques comme Hattori Hanzō ou encore Akechi Mitsuhide, on assiste aux complots politiques, aux trahisons, aux batailles épiques. L’ambiance fait clairement penser aux vieux films de samouraïs, on sent qu’Ubisoft a voulu rendre hommage à cette époque, avec ses codes, ses traditions. Bon, on ne va pas se mentir, l’histoire reste assez classique dans sa construction : vengeance, rédemption, alliance improbable qui devient amitié. Mais c’est raconté de manière correcte, les personnages sont attachants, surtout Naoe qui est vraiment bien écrite. Cependant, le jeu est très bavard, les cinématiques sont longues. Heureusement, le doublage français est de bonne qualité, il faut cependant le télécharger en supplément sur l’eShop (de base nous avons l’anglais et le japonais). Finalement, l’histoire remplit son rôle, elle nous donne envie de continuer pour voir où tout ça va nous mener, même si on n’aura pas de révélations qui nous retourneront le cerveau.

Attention cependant, finie la partie « meta » qui nous parlait de Desmond et de la guerre des Assassins vs. Templier dans le monde moderne, ce n’est plus vraiment au cœur de l’histoire, dommage.

Naoe, la vraie star du jeu

On va être très clair dès le départ : Naoe, c’est le personnage à jouer dans Assassin’s Creed Shadows. Pas parce que Yasuke est mauvais, loin de là, mais simplement parce que Naoe incarne tout ce qu’on attend d’un Assassin’s Creed. C’est elle qui a le vrai gameplay de la licence, celui qu’on connaît depuis le tout premier opus : l’infiltration, la discrétion, l’assassinat furtif.

Avec Naoe, on joue une vraie shinobi. Elle est rapide, agile, peut grimper partout grâce à son grappin, et nouveauté : elle peut ramper au sol ! On peut se plaquer contre le sol pour se cacher dans les hautes herbes, se glisser sous des bâtiments surélevés, et ramper dans l’eau peu profonde. On peut maintenant se cacher dans des endroits qu’on ne pouvait même pas envisager avant alors que c’était logique. Un toit en pente, une petite flaque. De plus, le grappin nous permet de nous accrocher aux plafonds, de nous balader au-dessus des ennemis qui ne pensent jamais à regarder en haut. On se retrouve suspendu comme une araignée, à observer les patrouilles, à attendre le bon moment pour frapper ou encore rejoindre plus rapidement le toit des différents bâtiments.

Son arsenal est aussi très complet. On a évidemment la lame secrète, l’arme iconique des Assassins, mais aussi des kunai pour infliger de gros dégâts si on vise la tête, des shuriken pour faire des dégâts à distance, des bombes fumigènes pour disparaître ou encore des clochettes pour distraire les ennemis. On peut vraiment jouer sur tous les tableaux : soit on élimine tout le monde en silence sans jamais être vu, soit on sème le chaos et on disparaît dans la fumée. La liberté d’approche est vraiment présente, on sent qu’Ubisoft a travaillé ses niveaux et son level design pour nous permettre plusieurs approches possibles, c’était déjà le cas auparavant, mais c’est encore plus accentué dans cet opus.

Pour renforcer cette sensation d’environnements variés, Assassin’s Creed Shadows nous propose un système de saisons. En été et au printemps, la végétation est dense, on peut se cacher facilement dans les buissons et dans les champs. En hiver, par contre, c’est une autre histoire. La neige recouvre tout, et si on marche sur un toit enneigé, la neige tombe bruyamment en dessous et alerte les ennemis, mais ils changent aussi leur comportement, ils se regroupent autour des feux, ce qui peut être pratique pour tous les éliminer d’un coup. Ce changement de saison rajoute encore un côté immersif à l’ambiance déjà très réussie du titre.

Mais attention, Naoe est fragile. Si on se fait repérer et qu’on se retrouve entouré de plusieurs gardes, ça peut très vite mal tourner. Elle ne peut pas parer les coups comme Yasuke, elle doit esquiver ou dévier les attaques. Ses attaques sont rapides, elle enchaîne les coups avec une grande fluidité, mais elle ne peut pas encaisser beaucoup de dégâts. Mais du coup quand ils réussissent à sortir vivants d’un combat contre une multitude d’ennemis, à base de contres et d’esquives parfaites, on est plutôt heureux et on se dit que le combat était difficile.

Il n’y a plus d’aigle dans ce jeu, qui survole la carte et qui repère tout pour nous. On garde la « vision d’aigle » qui nous permet de voir les ennemis à travers les murs et de les marquer, mais pour le reste, il faut observer, grimper en hauteur, analyser les patrouilles.

Yasuke, la force brute

Assassin’s Creed ShadowsYasuke c’est l’opposé total de Naoe. Si elle est l’ombre, lui c’est la lumière qui débarque et qui casse tout sur son passage. Yasuke, c’est le gameplay bourrin, celui où on fonce dans le tas et où on frappe fort. Il est lent, très lent même, ses déplacements sont lourds, en revanche quand il frappe, ça fait très mal.

Il a accès à un arsenal varié : katana, naginata, kanabō ou lances. Chaque arme a son style, ses animations, on sent vraiment l’impact de chaque arme de manières différentes. Le système de combat repose sur la parade et le contre. Yasuke peut bloquer les attaques ennemies avec son arme, encaisser les coups, et riposter avec une puissance dévastatrice. Quand on pare au bon moment, l’ennemi devient vulnérable et on peut lui infliger des dégâts énormes. C’est brutal et bourrin.

Cependant c’est répétitif. Une fois qu’on a compris le système, on fait toujours un peu la même chose : on attend l’attaque, on pare, on frappe, on recommence. Les ennemis n’ont pas énormément de variété dans leurs attaques, du coup on tourne vite en rond, ce qui est un peu ennuyeux à la longue. Pour Naoe c’est un peu le même souci, mais comme c’est proche de ce que l’on connait chez Assassin’s Creed, on est finalement plutôt en milieu connu et logique.

Yasuke débarque assez tard dans le jeu. Nous avons passé une bonne quinzaine d’heures à jouer Naoe, à s’habituer à sa rapidité, à sa fluidité, et d’un coup on se retrouve avec un personnage qui se traîne. On a préféré revenir à Naoe en permanence. Yasuke est clairement plus adapté à certaines situations, quand on veut vider un camp rapidement pour obtenir des ressources par exemple, ou bien quand on veut juste foncer sans réfléchir. Mais pour tout le reste, pour l’exploration, pour les missions d’infiltration, on préfère largement Naoe.

Le jeu nous laisse choisir avec quel personnage on veut faire les missions, sauf quelques-unes qui sont verrouillées à l’un ou l’autre pour des raisons scénaristiques. C’est appréciable, mais dans les faits, on finit par jouer Naoe la plupart du temps. Yasuke, on le sort quand on n’a pas le choix ou quand on veut taper en posant notre cerveau.

Des ajouts bienvenus, mais pas révolutionnaires

Le jeu propose quelques nouveautés sympathiques. On peut construire et personnaliser un petit village, notre repaire, avec des bâtiments qu’on débloque au fur et à mesure. C’est mignon, ça donne de petits bonus, mais c’est assez anecdotique. On ne passe pas des heures là-dessus, c’est vraiment un à-côté. Surtout que sur notre Switch 2 c’est assez horrible à encaisser, ça lag, c’est lent, ça pixelise souvent beaucoup, un enfer.

On peut aussi recruter des espions qui vont nous aider à récolter des informations sur nos cibles. C’est pratique, ça nous évite de chercher partout, car nous pouvons les utiliser pour ne pas chercher un PNJ pour une mission. On active l’espion, il fait son travail, on reçoit les infos. C’est automatique, on ne fait rien, pas de mini-jeu ou autre, juste il fait le « Google » pour nous.

Le gros point positif, c’est la personnalisation de la difficulté. On peut régler séparément la difficulté du combat et celle de l’infiltration. On peut même choisir si on veut que notre lame d’assassin soit létale en un coup à l’ancienne, ou bien qu’elle fasse des dégâts comme une arme classique. Ça permet à chacun de calibrer son expérience. On peut rendre l’expérience très difficile, où chaque faux pas nous sera létal, ou au contraire vivre l’histoire tranquillement en n’ayant que très peu de difficulté.

En revanche, l’IA est vraiment mauvaise, ils n’ont jamais réussi à améliorer cette partie. Les ennemis sont complètement incohérents. Parfois ils vous repèrent à 50 mètres à travers un mur, parfois ils ne vous voient pas alors que vous êtes juste devant eux. Évidemment ça casse complètement l’immersion. On se fait repérer alors qu’on était sûrs d’être bien cachés, ou au contraire on élimine des gardes à la chaîne sans que personne ne réagisse alors qu’on est en plein milieu de la cour. C’est dommage, vraiment dommage, parce que ça gâche pas mal l’expérience, surtout quand on cherche à jouer de manière furtive.

On terminera sur la redondance, bien connue des jeux Ubisoft et notamment d’Assassin’s Creed. Le monde ouvert est très grand, magnifique et sublime, mais il est rempli de la même chose partout. Des camps à libérer, des points de synchronisation à activer, des objets à collecter, des quêtes secondaires qui se ressemblent toutes. On a vu ça dans tous les Assassin’s Creed depuis la dernière Trilogie, après quelques dizaines d’heures de jeux on a vraiment fait le tour de multiples fois des différentes mécaniques et on commence à s’ennuyer un peu. On arrive dans une nouvelle zone (liée à notre niveau), on va récupérer les points de synchronisation pour se téléporter, la moitié sont dans de grands châteaux, alors on va s’amuser à vaincre les Daimyō afin de pouvoir ouvrir le coffre du lieu et obtenir un équipement légendaire, puis on prend le point de synchronisation. Et ainsi de suite, au cours de notre balade on va trouver un camp ou deux, on le rase, on récupère les ressources et au suivant. Entre l’IA et finalement le manque de diversité des activités, on arrive vite dans un rythme « Métro, Boulot, Dodo » un peu ennuyeux, mais encore une fois… on ne découvre pas ça avec Shadows, c’est le cas de tous les Assassin’s Creed depuis un paquet d’années, juste on aurait aimé le ressentir un peu moins.

Techniquement c’est bluffant, mais…

Et voilà, la partie que vous attendiez tous, qu’est-ce que ça donne sur Nintendo Switch 2 ? C’est un sentiment partagé qui nous anime et nous allons l’expliquer tranquillement. Souvenez-vous, en 2019 débarquait sur Nintendo Switch, un jeu dont on pensait qu’il était impossible de faire tourner sur notre console portable favorite : The Witcher 3. Nous avions à l’époque été bluffés par le fait que le jeu soit disponible, mais les concessions étaient très grandes, framerate faible et instable, textures très pixelisées, un aliasing énorme, bref une qualité très limite, mais le jeu tournait, avait l’intégralité de son contenu, le partage de sauvegarde était la preuve que tout était comme sur les autres plateformes. Eh bien Ubisoft avec Assassin’s Creed Shadows a pris la même partie que CD Project à l’époque, le jeu est disponible avec tout son contenu, mais avec des concessions.

Les concessions sont cependant assez nombreuses. Nous sommes limités à 30 FPS, qui ne sont malheureusement pas totalement stables, et si dans la globalité ça fonctionne bien, dès que l’on est dans une ville un peu remplie le jeu se dégrade rapidement, tout comme un château trop peuplé ou trop d’action lors d’un combat. Graphiquement il y a un gros souci avec les endroits sombres (peut-être éventuellement liés au HDR), c’est simple : si on rentre dans une maison et qu’on a le malheur d’être dans l’ombre, on ne voit plus rien à l’écran (vous pouvez vous en rendre compte sur le gameplay de Yasuke à la fin de la vidéo présente en bas du test). Les 30 FPS en soi ne sont pas gênants si vous n’avez jamais joué à Assasin’s Creed Shadows, cependant nous avions commencé notre partie sur PS5 à l’époque. Fait agréable au passage : grâce à UbiConnect, nous avons pu reprendre notre partie comme si de rien n’était. En jouant sur Switch 2, on a l’impression que le jeu « lag », qu’il tourne au ralenti, c’est vraiment flagrant et gênant au début. Après quelques minutes on s’adapte, mais la sensation est vraiment étrange.

Mais surtout ce sont les textures et les chargements qui font des bonds. S’ils ont décidé de retirer tout effet au niveau de l’eau, ils ont aussi décidé de garder les textures de bonne qualité… mais pas tout le temps. Si on se pose, qu’on ne bouge plus, le jeu est magnifique, si on se déplace la plupart du temps le jeu reste plutôt joli, mais parfois on tombe sur de la bouillie de pixels, à cause d’un angle de caméra capricieux, des textures qui ne se chargent pas, ou un tas d’autres facteurs, ce qui dénature complètement l’expérience.

Mais si à l’époque, l’exploit du portage de The Witcher 3 avait été grandement entaché par son visuel et son framerate, ici c’est mieux. Loin d’être parfait, l’exploit est quand même présent, nous permet de jouer à un jeu prévu pour la génération Xbox Series et PS5 sorti la même année, sans retirer du contenu, sur une console hybride portable/salon, c’est un travail excellent. Star Wars Outlaws a bénéficié de plusieurs mises à jour qui l’ont amélioré, on ne peut qu’espérer que ce soit aussi le cas pour Assassin’s Creed Shadows.

Actuellement le jeu fonctionne plutôt bien en docké, notamment si vous avez une TV assez moderne qui travaille pour le jeu (mode Jeu chez Samsung / LG par exemple). En portable nous avons trouvé que les problèmes d’ombre étaient encore plus accentués et surtout que les textures avaient plus souvent cet aspect pixelisé.

Côté audio, rien à dire, les musiques sont bonnes, les doublages français très bons, la possibilité de jouer en japonais sous-titré FR si l’on souhaite, le sound design est toujours aussi agréable.

Le titre est disponible sur l’eShop au prix de 59,99 euros. À noter que la version physique est une Game-Key Card.

Conclusion

8 /10

Assassin’s Creed Shadows ne révolutionne pas la formule initiée depuis Origins. Nous avons toujours cet Open World géant, avec ses objectifs toujours aussi nombreux et redondants, cette touche de RPG avec les équipements et les niveaux qui vous permettent de jouer selon vos préférences. Mais un ajout est de taille : Yasuke, si son gameplay ne nous a pas convaincus, pouvoir jouer deux personnages différents est quand même un plus agréable. Côté technique, la Switch 2 s’en sort plutôt bien, même si les 30 FPS non stables sont quand même assez douloureux, graphiquement on oscille entre le sublime et la bouillie de pixels. Mais encore une fois, l’exploit de sortir un jeu l’année de sa sortie, alors que prévu au départ pour des consoles plus puissantes est vraiment agréable. Ubisoft nous offre un beau cadeau en cette fin d’année et nous espérons avoir les autres titres qui n’étaient pas disponibles sur Switch prochainement. L’ambiance japonaise est formidable, bien retranscrite, c’est tellement agréable de se balader dans ce Japon à l’ancienne, rencontrer ces personnages historiques, vivre l’histoire touchante et prenante de nos deux héros.

LES PLUS

  • Jouer à Assassin’s Creed Shadows partout
  • Jouer à Assassin’s Creed Shadows sur Nintendo Switch 2 !
  • Naoe et son gameplay furtif
  • Yasuke et son gameplay bourrin
  • Un Japon que l’on adore parcourir
  • Une histoire prenante et touchante
  • Une formule qui fonctionne toujours aussi bien

LES MOINS

  • Mais une formule aussi qui peine à se renouveler
  • Après une trentaine d’heures, une lassitude peut s’installer
  • Une routine de gameplay un peu lourde
  • Un Yasuke qui peine à convaincre
  • Des concessions de FPS et de qualité de textures un peu difficiles parfois
  • Une gestion des ombres et des lieux sombres aux fraises

Détail de la note

  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Maniabilité 0
  • Contenu 0
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Fan de comics et de jeux vidéos, j'aime partager mon avis et débattre autours de mes deux passions.

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Assassin’s Creed Shadows
Date de sortie : 02/12/2025
Amazon eShop

Note finale

8
  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Maniabilité 0
  • Contenu 0

LES PLUS

  • Jouer à Assassin’s Creed Shadows partout
  • Jouer à Assassin’s Creed Shadows sur Nintendo Switch 2 !
  • Naoe et son gameplay furtif
  • Yasuke et son gameplay bourrin
  • Un Japon que l’on adore parcourir
  • Une histoire prenante et touchante
  • Une formule qui fonctionne toujours aussi bien

LES MOINS

  • Mais une formule aussi qui peine à se renouveler
  • Après une trentaine d’heures, une lassitude peut s’installer
  • Une routine de gameplay un peu lourde
  • Un Yasuke qui peine à convaincre
  • Des concessions de FPS et de qualité de textures un peu difficiles parfois
  • Une gestion des ombres et des lieux sombres aux fraises

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