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Mon-Yu (Nintendo Switch) – Le test

LarryL par LarryL
7 octobre 2023
dans Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 9 mins
0
Mon-Yu débarque en Europe en septembre sur Nintendo Switch
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Aujourd’hui, nous allons vous présenter Mon-Yu: Defeat Monsters and Gain Strong Weapons and Armor. You May Be Defeated, But Don’t Give Up. Become Stronger. I Believe There Will Be A Day When The Heroes Defeat the Devil King, un RPG au titre si long qu’il pourrait remplacer notre texte d’introduction. Le jeu est développé par les Américains de Poppy Works et les Japonais d’EXPERIENCE. Est-ce qu’il faut se laisser tenter par le RPG disponible le 29 septembre 2023 au prix de cinquante euros ? C’est ce que nous allons voir.

Avant de commencer le test, nous tenons à préciser que le jeu ne propose aucune traduction française. Un bon niveau en anglais est nécessaire pour jouer à Mon-Yu.

Un titre qui explique tout

Mon-Yu: Defeat Monsters and Gain Strong Weapons and Armor. You May Be Defeated, But Don’t Give Up. Become Stronger. I Believe There Will Be A Day When The Heroes Defeat the Devil King, que nous raccourcirons ensuite pour la suite du test par Mon-Yu, est un DRPG.

Le concept est plutôt simple, et globalement, tout est dit dans le titre du jeu. Nous incarnons une équipe de « héros » dont l’objectif est d’aller dans un donjon afin de battre the « Devil King ».

Le jeu démarre dans une auberge où un cochon nous réveille. Nous ne savons pas trop où nous sommes, ni qui nous sommes, mais c’est l’heure, nous devons rencontrer la reine qui va nous charger d’une mission de la plus haute importance.

Nous allons devoir créer notre équipe, et cela tombe bien, nous pouvons recruter dans l’auberge à peu près tous les personnages que nous voulons. Nous pouvons leur choisir leur nom, leur image de présentation ainsi que leur classe (ninja, samouraï, mage, etc.).

Le jeu nous offre ensuite dix points de compétence à répartir dans la statistique de notre choix. Il y a plusieurs statistiques qui vont avoir une influence sur le combat comme la vitalité (défense et points de vie), la magie (attaque magique), la force (puissance des coups) ou l’agilité (esquive et précision).

Après avoir créé une équipe de six personnages, nous sommes amenés à voir la reine des fées. Cette dernière est persuadée que nous sommes les héros capables de battre les dragons qui trainent dans les donjons. Elle nous demande d’aller les tuer en échange de belles récompenses.

Un jeu qui recycle tous les éléments du RPG…

Nous voilà donc dans un donjon, l’endroit où vous passerez quatre-vingt-dix pourcents de votre temps. Le gameplay est simple, mais vraiment très compliqué à prendre en main. Vous incarnez un groupe de héros qui doivent se déplacer dans les donjons avec une vue subjective en 3D.

Vous devez tuer les monstres qui se trouvent dans les nombreuses pièces du jeu afin d’atteindre le boss. Les monstres sont caractérisés par des ombres de feu de plusieurs couleurs différentes. Chaque couleur signifie que le monstre adoptera un comportement différent avant d’être attaqué.

Certains vous fuiront et il faudra les bloquer dans une impasse, certains vous poursuivront alors que d’autres ne bougeront pas. Ces indications nous permettent de mieux appréhender les difficultés quand nous entrons dans une pièce.

Une fois le combat lancé, vous découvrirez le monstre qui vous attaque et vous pourrez enfin partir dans le vif du sujet. À ce niveau-là, nous sommes dans des mécaniques très classiques que n’importe quel habitué du RPG pourra maîtriser rapidement.

Vos personnages ont des capacités et attaquent en fonction de leurs statistiques. Ils ont aussi une ou des armes (si votre héros utilise des armes à deux mains), ainsi que toute une panoplie d’équipements.

Quand nous remportons un combat, nous gagnons de l’expérience pour nos héros. Lorsqu’ils montent d’un niveau, ces derniers gagneront alors en points de vie, en points de magie (pour utiliser les capacités) et nous pourront augmenter une de ses statistiques.

Nous obtenons aussi de l’équipement aléatoire ainsi que de l’argent. L’équipement porté va aussi gagner en niveau et nos personnages vont aussi obtenir des points de « skill » afin d’apprendre et d’améliorer nos capacités. Le heal pourra apprendre des capacités de soin, le ninja pour focus une unité et gagner en initiative, etc.

Quand nos personnages meurent, la reine des fées nous ramène à la vie. Elle augmente alors les points de vie et les points de magie. La mort devient alors parfois bien plus intéressante que la vie.

… Pour en faire un jeu fade et sans saveur

Malgré toutes ces données à prendre en compte, le gameplay de Mon-Yu est malheureusement assez plat et répétitif. Le jeu nous demande de réitérer les mêmes actions dans le seul but de gagner de l’expérience et d’être plus fort.

Même s’il est possible de faire ses combats en mode automatique, ce n’est pas très passionnant de répéter encore et encore les mêmes combats afin de juste augmenter de niveau. De plus, comme le jeu est compliqué à prendre en main, nous ne ressentons ni le plaisir de la découverte, ni le plaisir d’augmenter nos personnages et de les transformer en puissants héros.

Les donjons se font en deux à quatre heures. Là encore, malheureusement, une fois le boss vaincu, au lieu de nous proposer un peu d’histoire, Mon-Yu nous ramène dans une copie du premier donjon pour vaincre un nouveau boss. La seule différence, c’est qu’il y a plus de chemins et plus de difficultés.

Il y a vraiment une grande déception à découvrir que le jeu s’est contenté du strict minimum. Ce sentiment « cahier des charges » se ressent dans toutes les phases du gameplay et le joueur risque d’être aussi désemparé que nous.

Le tout à cinquante euros

Cinquante euros est un tarif excessivement cher. Le jeu est certes très très long, mais sa durée de vie est artificielle. Il existe des expériences plus conséquentes en termes de gameplay pour le joueur au même prix.

Les graphismes ne sont pas très beaux. Les dessins « chibis » sont assez grossiers, sans grande cohérence, et nous sommes gênés face au traitement misogyne des personnages féminins. Les hommes sont sombres, ténébreux, et les femmes à moitié nues. Les donjons en 3D ne sont pas très beaux non plus.

La bande-son était sympathique au début, mais ne se renouvelle pas. Elle devient alors stridente et nous sommes obligés de passer en muet, faute d’autres titres à se mettre sous la dent.

Le jeu n’est pas tactile et cela aurait été clairement un plus pour le joueur. Le jeu n’est pas traduit et il y a beaucoup de textes pour apprendre le gameplay. Un bon niveau en anglais est requis pour pouvoir jouer à Mon-Yu.

Conclusion

3.5 /10

Mon-Yu est un DRPG répétitif et qui devient très rapidement ennuyeux. Le jeu possède un gameplay fade qui nous demande de refaire chaque donjon une bonne trentaine de fois pour avoir le niveau de tuer le boss. Les donjons sont tous les mêmes, les graphismes sont peu inspirés, la bande-son est limitée, et le tout pour cinquante euros. Attention, le jeu n’est pas traduit en français.

LES PLUS

  • Un condensé du RPG
  • Le combat automatique
  • La mort qui nous apporte des bonus
  • La liberté de créer son équipe intégralement
  • Une grosse durée de vie

LES MOINS

  • Aucune traduction française
  • Un gameplay fade et sans saveur
  • Répétitif et sans grand intérêt
  • Des graphismes pas si beaux que ça
  • Une bande-son qui devient très rapidement casse-pied
  • Misogynie ordinaire, quand tu nous tiens…
  • Cinquante euros ?!

Détail de la note

  • Graphismes 0
  • Gameplay 0
  • Bande-son 0
  • Durée de vie / Prix / Qualité 0
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LarryL

LarryL

Se fait des films et en fait parfois. Peut vous tenir la jambe pendant des heures sur Ingmar Bergman ou le cinéma japonais des années 50.

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Note finale

3.5
  • Graphismes 0
  • Gameplay 0
  • Bande-son 0
  • Durée de vie / Prix / Qualité 0

LES PLUS

  • Un condensé du RPG
  • Le combat automatique
  • La mort qui nous apporte des bonus
  • La liberté de créer son équipe intégralement
  • Une grosse durée de vie

LES MOINS

  • Aucune traduction française
  • Un gameplay fade et sans saveur
  • Répétitif et sans grand intérêt
  • Des graphismes pas si beaux que ça
  • Une bande-son qui devient très rapidement casse-pied
  • Misogynie ordinaire, quand tu nous tiens…
  • Cinquante euros ?!

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