Disponible gratuitement pour les joueurs Switch, No Man’s Sky: Switch 2 Edition signe une véritable transformation du jeu sur la nouvelle console de Nintendo. Véritable vitrine technologique, cette version propulse l’expérience bien au-delà des limites de la précédente génération, tout en s’appuyant sur près de neuf ans de mises à jour et de contenus.
Dès le lancement, cette édition offre une résolution accrue et un meilleur taux de rafraîchissement : 1080p en mode portable à 40 images par seconde et jusqu’à 1440p en mode salon à 30 images par seconde. La densité des textures a été améliorée sur toute la ligne, rendant les planètes, bâtiments et créatures encore plus crédibles et immersifs. Le jeu tire pleinement parti des fonctionnalités de la Switch 2 avec les commandes gyroscopiques, l’écran tactile, le multijoueur, le cross-save et le cross-play, le tout activé dès le premier jour.
La mise à jour Beacon, lancée en parallèle sur toutes les plateformes, ajoute un élément central au gameplay : les colonies. Il est désormais possible de devenir superviseur de plusieurs établissements à travers différentes planètes, chacun ayant sa population, ses infrastructures, ses défis et ses ressources à développer. Cette fonction, jusqu’ici absente sur Switch, est maintenant rendue possible par la puissance accrue de la Switch 2.
Les colonies disposent de bâtiments spécialisés, chacun contribuant à la productivité, au bonheur ou à la croissance de la population. Vous pouvez inspecter les structures, consulter des archives historiques détaillant les réalisations de votre colonie, et même assister à des feux d’artifice célébrant les événements marquants comme les naissances, les nouveaux citoyens ou les constructions majeures.
Des colonies bien particulières peuvent être découvertes : celles des Autophages, des formes de vie robotiques énigmatiques. Construites à partir de métal de récupération et de cristaux rares, ces colonies peuvent vous accueillir en tant que superviseur si vous avez su gagner la confiance de ces mystérieux êtres mécaniques.
L’aspect gestion a été considérablement étoffé : chaque habitant possède désormais une fiche de personnalité, révélant ses traits de caractère, forces et faiblesses. Les dilemmes citoyens ont été revus, avec des résolutions multiples et des décisions morales parfois complexes. Vous pouvez également personnaliser vos colonies avec des matériaux usés et rouillés pour un look plus organique, ou rehausser la classe des bâtiments pour améliorer leur apparence et leur efficacité.
Plusieurs bâtiments peuvent être améliorés pour offrir de nouvelles fonctions : saloons musicaux, plateformes de démantèlement de vaisseaux, fabriques de Multi-Tools, tours d’observation, ou encore marchés où interagir avec les guildes. Le gameplay devient plus vivant, plus ancré dans le quotidien de l’explorateur interstellaire.
Les colonies peuvent aussi produire des ressources de manière bien plus personnalisée : selon vos choix de spécialisation, il est possible d’orienter les productions vers l’agriculture, l’industrie ou le commerce, avec la possibilité d’exporter les matériaux pour générer des crédits via le marché galactique. Les colonies libérées de leurs dettes débloquent ainsi de nouvelles opportunités de production.
Pour parfaire l’immersion, l’IA de votre Exosuit propose désormais des options vocales masculines ou peut être complètement silencieuse. Et pour les amateurs de calme, des points de pêche dans vos colonies permettent de s’installer au bord d’un étang et de capturer des poissons de plus en plus gros à mesure que l’on améliore le bassin.
Enfin, vos colonies ne sont plus sans défense : si vous avez recruté des pilotes dans votre escadron, ces derniers pourront défendre vos installations lors d’attaques pirates, renforçant ainsi l’aspect stratégique de votre réseau d’avant-postes.









