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Pixel Heroes: Mega Byte & Magic (Nintendo Switch) – Le test

Dante_durden par Dante_durden
20 novembre 2021
dans Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 5 mins
0
Pixel Heroes: Mega Byte & Magic
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L’époque de la NES et de ses RPG vous manque ? Vous recherchez LE jeu qui saura mettre vos nerfs à rude épreuve ? Pixel Heroes: Mega Byte & Magic est fait pour vous. Déjà sorti sur la plateforme Steam depuis un moment, le titre nous revient sur Nintendo Switch dans une version complète, synonyme d’un retour nostalgique au sein des RPG d’antan.

C’est l’histoire de 3 types…

Ah la taverne, point de départ de tant de belles épopées que l’on narre dans le vacarme des chopes qui s’entrechoquent… C’est donc dans ce lieu charmant, que nous choisissons parmi plusieurs classes de personnages nos 3 aventuriers, une étape primordiale s’agissant des principaux protagonistes du récit à venir.

Voleur, mage, guerrier, barde, herboriste et encore pas mal d’autres, la dizaine de personnages disponible d’entrée de jeu s’avère certes plutôt classique, s’enrichissant cependant au cours de l’aventure pour atteindre la quarantaine en fin de partie. Il n’empêche qu’il demeure essentiel de constituer soigneusement son équipe, en raison d’un gameplay, difficile et punitif, qui nécessitera qu’on s’y attarde. Mais poursuivons avec le scénario.

Partant à l’aventure…

Sitôt notre guilde formée, nous découvrons au sortir de la taverne un petit village pittoresque, typique de l’époque moyenâgeuse, qui fera office de hub central à défilement horizontal. C’est ici que nous accédons au marchand, au forgeron, à l’église, à la libraire mais aussi au casino, ainsi qu’aux quêtes à valider avant de monter son expédition. Notre joyeuse compagnie voyage alors automatiquement depuis la carte du monde, sur laquelle nous suivons une route toute tracée entrecoupée d’événements aléatoires.

Ces rencontres avec des PNJ, des ennemis ou même des objets à remporter, diffèrent d’une partie à l’autre et dépendent directement de nos décisions : daignerons-nous assister aux quelques pas de danse de ce gai luron croisé en chemin, l’ignorerons-nous au contraire ou pire, l’irrésistible envie de le punir l’emportera-t-elle ? De ces nombreux paramètres découlent la suite, telle que l’expérience, l’or et les items que nous engrangeons, les éventuelles hostilités que nous ouvrons, ou la déception qui point lorsque nous repartons complètement bredouilles. Des interactions saupoudrées d’une bonne dose d’humour, bien que l’absence de traduction dans la langue de Molière puisse freiner les réfractaires à l’anglais ou l’allemand.

Pour combattre le mal encore et encore.

Au-delà de ces péripéties fortuites, les combats demeurent toutefois l’élément majeur du titre, d’ailleurs nombreux au sein des différents donjons que nos trajets nous amènent à visiter. Au fil de neuf salles, nous y affrontons une succession d’adversaires de plus en plus coriaces jusqu’à la dernière échauffourée avec le maître des lieux, qu’il nous faut occire. Ces combats, au tour par tour, opposent la plupart du temps notre trio de mercenaires à un nombre similaire d’ennemis, tous en file indienne : un élément de gameplay essentiel, ici pas de chouchou, belligérants alliés comme antagonistes sont logés à la même enseigne.

Notre tour venu, nous sélectionnons d’abord notre assaillant, puis désignons sa cible. A notre disposition, deux compétences – flèche empoisonnée, soin, coup d’épée surpuissant, etc. – néanmoins soumises à un délai de recharge, viennent en renfort de deux attaques classiques qui reposent sur un vaste choix d’armes, depuis les arcs et épées en passant par la lance, le bouclier et même un grimoire. Il convient cependant d’en évaluer la portée, l’épée blessant sans surprise l’adversaire en tête de file, tandis qu’un arc décimera les rangs plus éloignés. Nos chances de succès dépendent ainsi du placement de nos guerriers et de leur équipement respectif.

Notre amie la grande faucheuse

On ne va pas vous mentir, le jeu, ardu, ne pardonne aucun faux pas. Nous sommes privés d’accès aux soins durant les combats, à moins que nous ne disposions d’une compétence de ce type dont l’utilisation conduira toutefois, inévitablement, à sacrifier une attaque potentiellement meurtrière, le tour de l’ennemi lui succédant immédiatement. Dans ces conditions, une potion, à la quantité évidemment limitée, ferait-elle tout aussi bien l’affaire en fin de baston ? Vous l’aurez compris, tout ici est affaire de choix mais si vos PV tombent à zéro, point de plume de phénix pour vous ressusciter : la grande faucheuse descendue des cieux, s’emparera sans scrupule de votre petit corps martyrisé ! Il vous faudra alors, boiteux, terminer la quête à deux.

Tout cela, bien sûr, sans compter le chemin retour… N’attendez d’aucun aigle qu’il surgisse pour vous ramener en cette bonne vieille Comté ! La chance – et les deniers – aidant, peut-être parviendrez-vous à ressusciter dans l’église du village votre comparse tombé au combat. En revanche, si l’intégralité de votre compagnie succombe, la mort, définitive, signe la fin de la partie. Nous reprenons alors à zéro, depuis la sélection des personnages, dans le brouhaha de la taverne.

Un long voyage

Le jeu, peu avare de contenu, bénéficie d’une solide durée de vie grâce à 3 modes de campagne. « Difficile » ou « Cauchemar » ? Cruel dilemme ! Pas l’ombre d’un palier plus accessible à l’horizon, « Facile », ni même « Normal », en tout cas pas sans avoir déverrouillé l’ultime et quatrième campagne à l’intitulé trompeur, puisque tout aussi intransigeante que ses consœurs.

Comptez donc une bonne vingtaine d’heures de jeu pour compléter ces quatre expéditions, auxquelles s’ajoutent la quarantaine de personnages à débloquer et les traditionnels succès. Une estimation à nuancer en fonction de l’implication, la patience et l’expérience de chacun ; les plus voraces se rueront sur le mode « Arène », néanmoins réduit à un enchaînement de combats : rien de vraiment palpitant, au final.

Enfin, terminons par les graphismes et la bande-son. Le titre nous gratifie de gros pixels, en tout point fidèle à nos NES d’autrefois. On aimera ou non, pareil pour la musique, dans le même ton, bien qu’on éprouve vite l’impression qu’elle se répète inlassablement.

Conclusion

7 /10

Pixel Heroes: Mega Byte & Magic, par ses graphismes et son gameplay totalement old school, clive forcément. Mais pour peu que vous accrochiez, préparez-vous à un RPG difficile, punitif et très complet qui comprend un nombre conséquent de personnages à débloquer, quatre campagnes distinctes ainsi qu'un sympathique mode "Arène", sans plus. Amateurs de bons gros pixels et d'un challenge digne de ce nom, foncez donc sur l'eshop avec 14€99 en poche !

LES PLUS

  • Une difficulté bien présente...
  • Un mode arène...
  • Graphismes ambiance NES
  • Quatre campagnes
  • Une quarantaine de personnages à débloquer
  • La permadeath
  • Le système de combat
  • Les rencontres et événements aléatoires
  • Un RPG totalement rétro

LES MOINS

  • … qui rebutera les moins patients
  • … duquel on aura vite fait le tour
  • Disponible uniquement en anglais ou allemand
  • Des musiques redondantes

Détail de la note

  • Graphismes 0
  • Gameplay 0
  • Jouabilité 0
  • Bande-son 0
  • Durée de vie 0
  • Difficulté 0
  • Traduction 0

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Dante_durden

Dante_durden

Joueur depuis 30 ans, passionné de comics et autres joyeusetés de la sphère geek. C'est avec plaisir que je partage cette passion dévorante qui aura commencer avec un simple plombier moustachu tout fait de pixels.

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Note finale

7
  • Graphismes 0
  • Gameplay 0
  • Jouabilité 0
  • Bande-son 0
  • Durée de vie 0
  • Difficulté 0
  • Traduction 0

LES PLUS

  • Une difficulté bien présente...
  • Un mode arène...
  • Graphismes ambiance NES
  • Quatre campagnes
  • Une quarantaine de personnages à débloquer
  • La permadeath
  • Le système de combat
  • Les rencontres et événements aléatoires
  • Un RPG totalement rétro

LES MOINS

  • … qui rebutera les moins patients
  • … duquel on aura vite fait le tour
  • Disponible uniquement en anglais ou allemand
  • Des musiques redondantes

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