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Astérix & Obélix XXXL : Le Bélier d’Hibernie (Nintendo Switch) – Le test

Linadonia par Linadonia
4 novembre 2022
dans Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 5 mins
0
Découvrez les coulisses de Astérix & Obélix XXXL: Le Bélier d’Hibernie, bientôt sur Nintendo Switch
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Confirmant son statut d’éditeur phare de la BD franco-belge (en attestent les récentes déclinaisons vidéoludiques des Schtroumphs et du Marsupilami), c’est en compagnie d’un certain gaulois moustachu que Microids nous invite depuis le 27 octobre dernier, sur toutes les plateformes du marché, à fouler les voies (forcément) pavées de Romains de la verte Erin au gré d’un beat them all, encore un : Astérix et Obélix XXXL : Le bélier d’Hibernie. Moins d’un an après le bourrin Baffez-les tous au succès mitigé, la potion concoctée par les développeurs d’Osome Studio, s’avère-t-elle moins amère ? À vos gourdes pour en juger !

Astérix & Obélix XXXL : Le bélier d’Hibernie SWITCH

Par Toutatis!

« Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ et toute la Gaule est occupée par les Romains… Toute? Non ! Un petit village d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur ! »

Aucun doute possible à l’écoute nostalgique de la mythique introduction : Astérix et Obélix rappliquent dans une aventure inédite, au secours d’un bourg irlandais cédant peu à peu du terrain face aux légions de César qui se sont emparées d’Okidokix, légendaire bélier à cornes dorées conférant jusque là courage et ténacité aux valeureux autochtones. À l’appel éploré de la fille du chef Irishcoffix, Keratine, Idéfix flanqué de ses deux compères accoste ainsi en terre d’Hibernie (l’Irlande d’aujourd’hui), prêt à défaire la sommité romaine locale, j’ai nommé le général Roulétrus.

Le récit, certes truffé d’anachronismes et de références parodiques – tel Radiogagax, sosie de Freddy Mercury – toujours bienvenus, se départit malheureusement de la satire sociale inhérente à l’oeuvre d’Uderzo et de Goscinny, dont auraient pourtant raffolé les adultes que nous sommes devenus. La cible se veut probablement plus infantile, en témoigne l’absence de game over : si vous veniez à tomber au combat, un exploit au vu de l’IA adverse balbutiante, vous ressusciteriez fissa à l’endroit précis de votre trépas.

Au moins aurez-vous tout le loisir de vous focaliser sur la seule jauge qui vaille, le « super », décuplant vos dégâts sitôt remplie – à force de distribuer des baffes, beat them all oblige. La vue en contre-plongée facilitant la lisibilité, notre tandem de héros que l’on contrôle cependant individuellement, répond au doigt et à l’oeil manette en main : affecté aux attaques puissantes réalisables en le pressant plus ou moins fortement, le bouton X vient en renfort du bouton Y dédié aux frappes légères. Indispensable pour franchir certains précipices, B déclenche une roulade faisant office d’esquive, tandis qu’on se saisira de l’objet souhaité avec A dont l’icône apparaît ensuite aux côtés de nos cœurs de santé.

En pratique néanmoins, Astérix et Obélix peinent à se différencier : le premier court un poil plus vite, accède aux corniches plus fragiles sans qu’elles ne cèdent sous son poids, ce même poids qui permet, à l’inverse, au second d’activer des interrupteurs particuliers et de se saisir de lourds objets – mais attention, Monsieur N’EST PAS GROS !

Décomposé en deux actes distincts, chacun des six niveaux s’articule autour d’une route préliminaire – surtout linéaire – parsemée de quelques énigmes redondantes et peu folichonnes, assorties de 4 casques dorés à collecter optionnellement, qui précède l’apothéose finale consistant en un camp de Romains à liquider intégralement, quand il ne s’agit pas d’exterminer un gradé. Afin de décrocher l’or, il faudra généralement récurer les lieux en un temps record, atteindre le score requis, perdre le moins de vie possible et compléter un dernier objectif, variable selon la garnison.

Les légionnaires à se dresser sur votre chemin n’offrent malheureusement que peu de résistance, même sous les ordres d’un centurion censé les stimuler, qu’il convient donc d’éliminer en priorité bien qu’il ne prenne directement part à la mêlée. Ils ne se renouvellent guère plus, en dépit de 4 types spécifiques : lanciers, archers, soldats parés d’un bouclier un brin plus résistants et grosses brutes maniant cet énorme marteau derrière lequel sans vergogne, ils s’abritent.

Quant aux nombreux items à la durabilité limitée disséminés dans les niveaux, seuls trois d’entre eux parviennent à véritablement tirer leur épingle du jeu : les cuisses de sangliers qui restaurent votre vie, les marteaux fracassant les écus adverses et les roues, diablement efficaces puisque rebondissant joyeusement d’un ennemi à l’autre.

Il est pas frais ton poisson !

Techniquement, le titre s’en sort honorablement, fort d’un framerate constant, d’animations convaincantes et de graphismes tout en rondeurs, aux couleurs agréables à l’oeil. Malgré les vagues de Romains qui déferlent, nous nous repérons assez facilement – et fluidement.

L’apparente variété des décors (festival de musique, parcours d’athlétisme, village portuaire…) masque toutefois mal la duplication à outrance de multiples éléments. En résulte le sentiment d’une DA très (trop ?) uniforme, entre autres sueurs froides consécutives à la survenue de bugs bloquants, notamment ce Romain, coincé dans un mur, qu’il nous fallait impérativement castagner pour déverrouiller la sortie. Loué soit Belenos, il nous aura cette fois-ci suffi de relancer la partie… en attendant le patch !

Conséquence d’un mixage déséquilibré, la musique entraînante sans être transcendante,  se voit rapidement éclipsée par l’omniprésence des bruitages. En revanche les acteurs aux timbres de voix parfaitement adéquats, nous régalent d’un doublage dans la langue d’Abraracourcix d’une indéniable qualité.

Retenons pour conclure qu’à date, le dernier volet des pérégrinations du plus célèbre des Gaulois, pêche d’abord et avant tout par son manque criant de renouvellement, un constat d’autant plus navrant que sa durée de vie qui n’excède pas 5 heures, écorne sérieusement sa promesse initiale d’un périple « XXXL ». Pire, la comparaison que suscite nécessairement cette mention en forme d’hommage à ses lointains prédécesseurs sur 128 bits, tourne immanquablement en sa défaveur.

Conclusion

5.5 /10

Trop moyen, trop facile et trop court, Astérix et Obélix XXXL : Le bélier d'Hibernie, en outre garni d'ennemis trop peu dégourdis, déçoit par ses niveaux répétitifs. À blâmer, des énigmes et des éléments de décor similaires à l'excès qu'échouent à compenser le framerate, les graphismes et les doublages réussis, en dépit d'un mixage discutable. Une impardonnable trahison lorsqu'on se réclame du glorieux héritage des 2 premiers XXL, aux gameplay et scénario infiniment plus aboutis !

LES PLUS

  • Une bonne maniabilité
  • Un doublage FR de qualité
  • Des graphismes corrects

LES MOINS

  • Une DA peu inspirée
  • Trop facile
  • Trop court
  • Une aventure d'Astérix sans son âme
  • Des énigmes qui se répètent énomément
  • Le mixage audio

Détail de la note

  • Scénario 0
  • Graphismes 0
  • Prise en main 0
  • Fluidité 0
  • Bande-son 0
  • Difficulté 0

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Fan de jeux de versus et des monstres de poche

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Note finale

5.5
  • Scénario 0
  • Graphismes 0
  • Prise en main 0
  • Fluidité 0
  • Bande-son 0
  • Difficulté 0

LES PLUS

  • Une bonne maniabilité
  • Un doublage FR de qualité
  • Des graphismes corrects

LES MOINS

  • Une DA peu inspirée
  • Trop facile
  • Trop court
  • Une aventure d'Astérix sans son âme
  • Des énigmes qui se répètent énomément
  • Le mixage audio

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