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Wander Stars (Nintendo Switch) – Le test

Hadratoze par Hadratoze
30 octobre 2025
dans Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 21 mins
0
Wander Stars débarque sur Nintendo Switch le 1er août avec des combats aussi explosifs que verbaux
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Wander Stars est sorti le 19 septembre 2025 sur Nintendo Switch. Proposé au prix de 24,99€ sur l’eShop, il a été développé par Paper Castle Games et édité par Fellow Traveller.

Paper Castle Games est un petit studio vénézuélien composé de trois personnes, cumulant chacune un à deux rôles. Ils ont commencé leur carrière en 2018 avec Underhero, un RPG-plateformer.

L’éditeur, Fellow Traveller est une société fondée en 2011 sous le nom de Surprise Attack Pty, avant de changer d’identité en 2018. Basée à Melbourne, en Australie, sa spécialité est de placer la narration au cœur des jeux vidéo. Nous avions déjà pu apprécier son travail d’édition avec d’excellents jeux indépendants comme Kulebra and the Souls of Limbo et 1000xRESIST. Wander Stars ne fait pas exception à la règle, puisqu’il bénéficie d’une narration de qualité.

C’est l’histoire d’une pomme rouge

Wander StarsVous contrôlez Ringo, surnommée « Red » à cause de ses cheveux rouges en forme de pomme, qui rêve de participer à son premier combat dans la compétition de Kiai, une forme d’art martial où les mots sont utilisés pour former une phrase permettant de frapper son adversaire. Après son réveil, sa grand-mère lui demande de faire une liste de courses et mentionne au passage le grand-frère de Ringo, porté disparu. Cette évocation provoque une grande frustration chez Ringo, qui part en emportant son téléphone auquel est suspendue une breloque en forme d’étoile.

Alors qu’elle sort faire ses emplettes, elle est arrêtée par un loup en moto effectuant un dérapage à la Akira. Ce dernier ne se présente pas mais lui révèle qu’elle possède un morceau de carte caché dans sa breloque étoile qui se met alors à briller. Ringo ignorait jusque-là qu’il y avait quoi que ce soit à l’intérieur. Le bout de carte s’envole vers le loup qui l’attrape et s’enfuit à plein régime. Ringo se lance immédiatement à sa poursuite.

L’histoire démarre d’une pure coïncidence : la Wander Star et la quête pour retrouver le frère de Ringo seront le centre de cette aventure. L’écriture est similaire à celle de nombreux mangas de type shōnen, mêlant combats, pouvoir de l’amitié et quête d’identité.

L’un des éléments les mieux développés est le lien qui se crée entre les différents membres de l’équipe. Ringo part seul, mais se voit rejoindre par divers alliés, tous soudés par la recherche de la Wander Star. Les dialogues occupent une place importante, puisque vous pouvez interagir à tout moment avec vos équipiers quand vous êtes en phase carte. Ces interactions génèrent des échanges variés, aussi drôles que profonds. Vous apprendrez très vite à vous attacher à ces personnages hauts en couleur, que ce soit à travers leurs conversations, leurs actions ou leurs dilemmes.

L’univers dans lequel se déroulent les événements est une sorte de monde de science-fiction avec des problématiques plus ou moins proches du monde réel, où le sport le plus connu est le Kiai. Si vous prêtez bien attention aux conversations, vous pourrez vous faire une idée du fonctionnement de ce monde. Les différentes planètes sont dissemblables les unes des autres, notamment en raison de croyances très divergentes, et ce, malgré le fait que ces mondes sont souvent des dépotoirs (la police est corrompue, la drogue est en vogue, et bien d’autres maux). Si vous cherchez une écriture profonde, vous en trouverez un peu, mais elle reste relativement terre à terre. L’humour est plutôt réussi grâce à de nombreuses situations absurdes, reflétant bien une inspiration tirée des mangas tout en exploitant l’absurdité du monde du jeu construit par les développeurs.

Malheureusement pour nous, pauvres francophones, le jeu n’est disponible qu’en anglais. Certains éléments sont facilement compréhensibles, mais une simple base ne suffira pas. Il faudra un niveau un peu plus avancé pour saisir toute l’histoire.

Les mots sont vos attaques

Chaque chapitre commence de la même manière : vous choisissez d’abord la difficulté (ce qui augmente le nombre de faiblesses et de résistances de Ringo), puis les mots que vous souhaitez emporter. Ensuite, vous avez un dialogue d’introduction, puis vous accédez à la carte.

Il est crucial de bien choisir vos mots, car ils modifient votre stratégie en combat. Vous ne pouvez emporter que ceux que vous avez préalablement achetés dans le magasin (ceux dans les chapitres ne compte pas) en utilisant votre honneur (l’équivalent de l’expérience). En effet, lorsque vous terminez un chapitre, vous obtenez tout l’honneur accumulé en combat, ainsi que l’accès au mode difficile de ce chapitre

La carte est l’équivalent de “l’exploration” du jeu.

Pendant la phase de carte, vous faites avancer Ringo selon les cases disponibles devant elle, avec la possibilité d’emprunter plusieurs chemins un peu comme dans Super Mario World sur SNES, l’objectif étant d’atteindre la case « Goal » pour continuer l’histoire. Vous avez accès à votre inventaire pour vous soigner (si vous avez des objets de soin), à la gestion des mots utilisables en combat, à vos statistiques (points de vie, nombre de mots utilisables, argent, etc.), aux « Pep Ups », au dialogue avec vos coéquipiers, et aux options. Les objets de soin peuvent également être utilisés directement en combat. Nous aborderons les Pep Ups plus tard.

Les changements de zone sur la carte offrent des améliorations de statistiques temporaires (PV, nombre de mots coups initiaux, mods, etc.). Les objets et les nouveaux mots peuvent également être trouvés durant les combats ou sur la carte.

Il est crucial de noter qu’aucune de ces améliorations n’est permanente et n’est conservée d’un chapitre à l’autre. Même un mot puissant découvert après un combat ne sera pas nécessairement achetable avec l’honneur avant d’atteindre un chapitre ultérieur.

Parlons maintenant des différentes cases de cette phase de carte :

Wander StarsLes cases événement (représentées par un “?”) : Elles déclenchent des situations aléatoires qui ne sont pas prédéfinies. Même si vous refaites le chapitre et retombez sur la même case, l’événement sera potentiellement différent. Ces derniers peuvent exiger un choix de votre part. Selon votre décision, vous pourrez obtenir un bonus, perdre des points de vie, ou être contraint d’engager un combat. D’autres possibilités existent, et c’est à vos risques et périls : plus l’aventure avance, plus les conséquences peuvent être avantageuses ou cruelles.

Les cases dialogues : Elles se résument souvent à une conversation drôle ou à un tutoriel sur les ennemis que vous rencontrerez. Par exemple, un PNJ pourrait vous révéler que les ennemis rats seront faciles à vaincre si vous utilisez une attaque avec le mot Feu.

Les cases combat : Elles déclenchent un affrontement que vous avez la possibilité de ne pas relever, mais si vous choisissez de l’éviter, vous ne pourrez pas avancer sur le chemin de cette case combat. Il y a aussi la case boss qui apparaît après avoir atteint la case goal, ça peut ne pas être le cas mais bon, vous devriez pouvoir deviner si vous arrivez à la fin du chapitre ou non.

Les cases repos : Elles déclenchent un dialogue entre vos personnages et permettent à toute l’équipe de récupérer la totalité de ses points de vie (PV) et de stratégie (SP).

Les cases magasin : vous obtenez de l’argent à la fin des combats ou en explorant la carte. Ces cases vous donnent la possibilité d’acheter ou de vendre des mots et des objets.

Comme mentionné dans l’histoire, vous utilisez le Kiai, un art martial magique, qui est le cri de combat avant de porter un coup dans les arts martiaux, mais dont le fonctionnement dans le jeu a été réinventé.

La construction des phrases d’attaque

Pour attaquer, vous construisez une phrase composée de plusieurs éléments :

Un coup initial (obligatoire à utiliser : genou, poing, objet, griffe, etc.).

Un élément (optionnel : feu, pierre, eau, etc.).

Des mods (optionnels : spectaculaire, explosif, rapide, etc.).

Wander StarsPar exemple, la phrase « poing feu spectaculaire rapide » détermine les dégâts et les effets infligés. L’addition des mots se traduit par des bonus (ex. : Poing +1 dégât, élément Feu +2 dégâts, Spectaculaire +2 dégâts), tandis que le mod Rapide réduit le temps de recharge des mots utilisés.

La phrase d’attaque est limitée à 4 emplacements (slots) de base. Vous pouvez augmenter cette limite en dépensant de l’honneur (votre expérience) ou temporairement en accumulant des SP.

Chaque mot a un coût d’utilisation de 1 à 3 emplacements et un temps de recharge (cooldown). Après un combat, les mots ne sont pas rechargés ; leur réutilisation nécessitera soit de passer un tour en combat, soit de se déplacer sur une case sans événement lors de la phase de carte, ou encore d’utiliser des mods comme le mot Rapide.

Résistance et faiblesse

À l’instar d’un RPG comme Pokémon, tous les ennemis possèdent des faiblesses, des résistances et des immunités aux différents éléments. Elles sont déterminées aléatoirement, mais la plupart des ennemis ont une faiblesse spécifique que vous pourrez apprendre lors des cases dialoguées.

Exploiter une faiblesse augmente le total des dégâts d’un certain pourcentage, frapper une résistance les réduit. Utiliser un mot contre lequel l’ennemi est immunisé n’aura aucun effet et ne fera subir aucun dommage.

Les dégâts que vous allez infliger avec une faiblesse, une résistance et juste des dégâts normaux sont affichés en bas à gauche de votre écran.

Si la faiblesse de l’adversaire est touchée, vous obtenez des SP proportionnels aux dégâts infligés. Ces SP vous permettent d’augmenter temporairement le nombre d’emplacements disponibles pour construire vos phrases d’attaque.

Lorsque vous utilisez un élément, vous avez une chance d’infliger un statut à l’ennemi (brûlé, sonné, endormi, etc.). L’effet varie selon le statut infligé : certains se contentent d’infliger des dégâts sur la durée, tandis que d’autres peuvent empêcher l’adversaire d’utiliser certains mots ou le limiter dans ses actions. C’est à vous de les découvrir.

Les Pep Ups

Durant les combats, les ennemis peuvent être vaincus de deux manières : soit en les tuant en réduisant leurs points de vie à zéro, soit en les épargnant. Lorsqu’un ennemi atteint un certain seuil de PV (variable selon l’adversaire), il passe en position d’abandon. Il cesse alors d’attaquer et se met à vous supplier.

Si vous choisissez de l’épargner, vous avez une chance d’obtenir un « Pep Up », en plus des récompenses classiques (nouveaux mots, objets, argent et honneur).

Les Pep Ups représentent l’honneur des ennemis qui afflue en Ringo. Vous pouvez choisir de les équiper ou non ; ils confèrent divers effets, tels que l’immunité à certaines attaques ou l’augmentation du seuil à partir duquel les ennemis implorent la grâce et bien d’autres. Un Pep Up s’accompagne également de l’obtention d’un mot supplémentaire pour votre arsenal, mais vous pouvez bénéficier de l’effet du Pep Up sans équiper le mot obtenu.

Évolution de la puissance et stratégies de combat

Au début du jeu, vos dégâts ne sont pas très impressionnants, mais vers la fin, il est largement possible d’infliger 80 points de dégâts et d’attaquer plusieurs fois d’affilée. Bien qu’il existe de multiples façons de construire vos attaques, le jeu reste accessible. Vous pouvez souvent vous contenter de trouver une combinaison pour infliger des dégâts monstrueux, ce qui suffira la plupart du temps pour progresser.

D’ailleurs, tant qu’il vous reste des emplacements disponibles dans votre phrase d’attaque, vous pouvez continuer à frapper. C’est uniquement lorsque vous mettez fin à votre tour que l’adversaire peut attaquer.

La plupart des ennemis de base n’ont rien de spécial, si ce n’est des attaques qui leur sont propres. Il existe cependant quelques exceptions qui demandent des conditions spéciales pour être vaincues – par exemple, un adversaire qui nécessite l’utilisation de la garde pour lui infliger des dégâts.

La principale difficulté réside dans la gestion de vos objets, du temps de recharge et de votre vie, d’autant plus que vous commencez sans aucune ressource pour vous soigner. Perdre un grand nombre de points de vie peut donc rapidement vous placer dans une situation critique vu que vous ne les regagnez pas automatiquement. Quant aux boss, ils possèdent une mécanique censée indiquer leurs prochaines actions et si l’attaque est mortelle ou non, mais ce système n’est pas toujours très clair. D’autant plus que les boss ne sont généralement pas si difficiles à vaincre.

Hormis quelques exceptions, frapper fort suffira pour terminer l’aventure principale.

Bugs

Wander StarsC’est réellement dommage : le jeu présente des idées intéressantes, mais il contient un peu trop de bugs, dont certains sont plus que gênants.

L’expérience est d’abord gâchée par une interface de menu frustrante. Naviguer dans les options est étrange : le défilement ne met pas à jour l’affichage, obligeant le joueur à utiliser le stick droit pour centrer l’écran et retrouver le curseur, souvent perdu hors champ. Ce défaut persiste dans tous les panneaux, de l’inventaire aux commandes de combat. Ainsi, le curseur peut se retrouver sur le menu 6/6 alors que vous n’en êtes qu’au 1/6.

Un autre souci technique réside dans l’apparition aléatoire de micro-écrans noirs, de la durée d’une à trois images. Bien que sans conséquence directe sur le jeu, ce flash visuel est désagréable et fait craindre un potentiel crash (nous n’en avons jamais eu dû à ce bug). Plus problématique encore en combat, il arrive que l’ennemi continue son assaut alors que c’est le tour du joueur de sélectionner ses actions. L’adversaire vous tabasse et ça réinitialise la sélection de commandes, rendant toute frappe impossible. Il est alors extrêmement difficile, voire impossible, de valider une action avant que le processus ne soit à nouveau interrompu.

Tous ces dysfonctionnements restent largement gérables et ne se produisent pas systématiquement, à l’exception du problème d’affichage des menus. Les bugs mentionnés n’arrivent que très rarement mais cela peut repousser l’envie de jouer.

Malheureusement, un bug critique se produit à la fin du jeu : après avoir vaincu le boss final, un dialogue se lance sans afficher le modèle 2D du personnage qui parle. Le jeu finit ensuite par crasher, vous ramenant au menu de la console. Ce dernier point est d’autant plus frustrant que le test a été effectué sur la Nintendo Switch 2, donc le problème vient bien du titre en lui-même.

Frapper les gens, ça fait un bruit satisfaisant

La plupart des musiques sont dynamiques. Étant donné que la majorité du gameplay se déroule lors des combats, c’est la partie qui devrait le plus vous marquer. L’histoire est souvent ponctuée de moments dramatiques, et certaines pistes musicales de combat s’adaptent parfaitement à ces situations, renforçant l’émotion (triste, joyeuse, pleine d’espoir, etc…). Dans l’ensemble, la musique est très réussie, évoquant l’ambiance et le style des animes.

La conception sonore des combats est également très satisfaisante : lorsque vous frappez, encaissez, effectuez un coup critique ou touchez une faiblesse, vous ressentez pleinement l’impact. Malgré quelques limites dans les animations pour représenter le coup, le combat est assez jouissif ; mettre un coup fatal est d’autant plus gratifiant que le feedback sonore vous récompense pour votre action.

Il manquait pas grand-chose et ça serait vraiment beau

Wander StarsLa direction artistique est très réussie, l’inspiration anime étant parfaitement assumée. Les modèles de personnages et les décors sont agréables à regarder, avec un niveau de détail suffisant pour que les ennemis et les alliés restent mémorables.

Si l’on fait exception de la distinction entre les coups de poing et de pied, la variété des animations de combat est limitée, ce qui constitue la principale faiblesse graphique.

Seule Ringo est affichée en permanence durant les affrontements ; ses alliés n’apparaissent que de manière fugace pour exécuter leurs attaques spéciales. Surtout, les ennemis – qu’il s’agisse des boss ou des adversaires standards – manquent cruellement d’animation : leur modèle se déplace légèrement et l’écran tremble à l’impact des dégâts, complété par l’affichage de l’élément utilisé (s’il en utilise un). Le seul changement notable intervient en phase critique : l’interface affiche une image ou une illustration soulignant l’état de détresse du personnage, que ce soit Ringo ou les ennemis.

Bien que les dialogues importants comportent des animations plus détaillées, elles sont malheureusement rares et très brèves : le jeu utilise principalement des images fixes. Malgré cette limitation, la qualité des quelques animations présentes est appréciable.

Ni trop, ni trop court

L’aventure principale dure approximativement 10 à 15 heures. Vous pouvez facilement vous dépatouiller pour la poursuivre, surtout que mourir n’est pas une fin. Vos points d’honneur sont seulement réduits de moitié en recommençant le combat. Si vous voulez aller plus loin, tous les chapitres du jeu ont un mode difficile qui ajoute une condition à chaque combat, comme l’impossibilité d’utiliser un objet ou le combat commencé par les ennemis. C’est un challenge intéressant pour ceux qui en demandent plus. Si vous cherchez le 100%, cela  devrait vous prendre 18 à 25 heures maximum, vu que vous aurez déjà pris connaissance de l’histoire et que sans elle, un chapitre prend beaucoup moins de temps.

Conclusion

6.4 /10

Wander Stars se distingue par son concept de RPG au tour par tour très inventif, où l'élaboration de phrases d'attaque à partir de mots-clés est à la fois ingénieuse et gratifiante. Soutenue par une direction artistique et une bande-son fortement inspirées de l'esthétique shōnen, l'aventure plonge le joueur dans un univers de science-fiction dystopique et absurde. L'ambiance générale est mémorable, que ce soit par son univers ou par son histoire, et vous vous attacherez inéluctablement à cette équipe de bras cassés pour le meilleur et pour le pire. Wander Star a une forte identité. Malheureusement, les problèmes techniques constituent un gros frein : à l'heure actuelle, après avoir battu le boss de fin, nous n'avons toujours pas pu voir les crédits en raison d'un bug survenant juste après notre victoire. Nous vous conseillons d'attendre que le jeu soit mis à jour. Le titre mérite son prix (24,99€), mais seulement si ce bug de fin est au minimum corrigé.

LES PLUS

  • L’histoire est agréable à suivre
  • Les personnages sont attachants et ils donnent envie de continuer l’aventure
  • Les dialogues sont aussi prenants que drôles
  • Les combats sont assez ingénieux
  • La partie de jeu sur la carte n’est pas redondante due à ses situations variées
  • Les impacts des coups sont satisfaisants
  • Les musiques savent s’accorder avec l’ambiance
  • Il y a une certaine rejouabilité pour les chapitres, surtout en mode difficile

LES MOINS

  • Les boss ne sont pas forcément le défi que vous imaginez
  • Les animations sont un peu trop rares
  • Les bugs sont trop récurrents mais n’empêchent pas de jouer
  • Celui à la fin du jeu, en revanche, est stupide et gâche l’envie de faire le jeu

Détail de la note

  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Bugs 0
  • Durée de vie 0
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6.4
Wander Stars
Date de sortie : 19/09/2025
eShop

Note finale

6.4
  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
  • Bugs 0
  • Durée de vie 0

LES PLUS

  • L’histoire est agréable à suivre
  • Les personnages sont attachants et ils donnent envie de continuer l’aventure
  • Les dialogues sont aussi prenants que drôles
  • Les combats sont assez ingénieux
  • La partie de jeu sur la carte n’est pas redondante due à ses situations variées
  • Les impacts des coups sont satisfaisants
  • Les musiques savent s’accorder avec l’ambiance
  • Il y a une certaine rejouabilité pour les chapitres, surtout en mode difficile

LES MOINS

  • Les boss ne sont pas forcément le défi que vous imaginez
  • Les animations sont un peu trop rares
  • Les bugs sont trop récurrents mais n’empêchent pas de jouer
  • Celui à la fin du jeu, en revanche, est stupide et gâche l’envie de faire le jeu

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