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Pipistrello and The Cursed Yoyo (Nintendo Switch) – Le test

reader par reader
28 mai 2025
dans Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 16 mins
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Pipistrello and the Cursed Yoyo
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La Game Boy Advance a accueilli de nombreux titres plutôt bons, aujourd’hui nous allons nous intéresser à un jeu qui aurait pu faire partie de sa ludothèque et dont la particularité est d’incarner une pipistrelle armée d’un yoyo… ? Vraiment ? Oui oui ! Prenez votre plus beau yoyo et c’est parti pour l’aventure !

Pippit et le Yoyo Maudit !

Pipistrello and The Cursed Yoyo Pipistrello and the Cursed Yoyo est la dernière réalisation du studio Pocket Trap. Fondé en 2013, il est situé au Brésil, à São Paulo et il a déjà œuvré sur des titres comme Ninjin: Clash of Carrots ou encore Dodgeball Academia (dont vous pouvez retrouver les tests en cliquant sur les liens respectifs). Cette fois, c’est un nouvel univers original qui est proposé par Pocket Trap et qui nous met dans la peau (et avec les ailes) d’une pipistrelle (la pipistrelle est une espèce de très petite chauve-souris).

Notre jeune héros se nomme Pippit et c’est un as du yoyo (enfin, il s’est classé 319ème lors de son dernier tournoi). Mais ce n’est pas tout, Pippit fait partie de l’illustre famille Pipistrello, une famille dont la société est l’un des principaux fournisseurs d’énergie de New Volt City. En effet, sa tante, Madame Pipistrello a mis au point un procédé permettant d’extraire l’énergie des plantes (des roses) et elle a réussi à imposer un monopole de l’énergie par le biais de sa société… Pratiquant des tarifs exorbitants, mais obligatoire pour les clients dépendants de l’énergie. C’est donc par une soirée tranquille, après un nouvel échec à un tournoi de yoyo, que Pippit va rendre visite à sa tata adorée histoire de lui faire un gros câlin et de récupérer un gros chèque au passage pour financer du nouveau matériel. Mais grand mal lui en prend, car c’est justement le moment qu’ont choisi les 4 principaux concurrents de Madame Pipistrello pour se débarrasser d’elle ! Utilisant les plans d’une autre technologie imaginée par les Pipistrello pour développer une machine capable d’extraire l’âme de n’importe quel être vivant afin de la convertir en énergie dans des mégabatteries, permettant ainsi de bénéficier de réserves d’énergie infinies ! N’écoutant que son courage pour protéger sa tata, Pippit s’interpose (enfin tout du moins son yoyo) alors que l’âme de sa tante est sur le point d’être totalement absorbée… à sa grande surprise, une partie de celle-ci se retrouve enfermée dans son yoyo ! Pippit, désormais armé de son yoyo possédé par sa tante va se mettre en quête des 4 mégabatteries contenant une fraction de l’âme de Madame Pipistrello, afin de lui rendre son intégrité…

Bienvenue à New Volt City !

Pipistrello est un jeu en vue de dessus, à la manière d’un Legend of Zelda et se joue comme un mix entre un A-RPG et un metroidvania. Il est d’ailleurs présenté comme un Yoyovania par ses développeurs. On peut donc se déplacer librement (dans la limite des capacités acquises) dans la ville de New Volt City. Dès le début de l’aventure, nous avons le choix entre deux zones à explorer (il y en a 4 en tout plus un secteur final). Pippit, équipé de son yoyo (possédé par l’esprit de sa tante, on le rappelle), peut utiliser ce dernier comme une arme (d’ailleurs, pour la petite anecdote « Comment briller lors de votre prochain repas de famille, sachez qu’à l’origine le yoyo est une arme !). Il peut ainsi l’utiliser pour le lancer sur ses ennemis, il est également capable de profiter des angles de certains murs pour le faire ricocher et atteindre des adversaires à première vue inaccessibles. Au fil de votre progression, le yoyo se révèlera être un véritable couteau suisse et permettra à Pippit d’effectuer plusieurs types d’actions. Certaines permanentes une fois acquises, comme le lancer de yoyo (permettant de jeter son yoyo sur un adversaire distant, ou un interrupteur ; la promenade du chien pour utiliser son Yoyo comme un véhicule permettant de « rouler » sur l’eau ou encore la possibilité d’utiliser le rebond contre un mur, afin de se propulser encore plus loin pour atteindre une plateforme éloignée par exemple). Pippit bénéficie également de techniques offensives (ou techniques chargées) que l’on pourra choisir parmi trois (lancer de yoyo à distance, attaque de yoyo en rafale, enchainement façon réaction en chaine après le lancement du yoyo), mais également plus défensives (des techniques spéciales), également à choisir entre trois (la parade, qui permet de renvoyer une attaque ennemie en pressant sur le bouton au bon moment ; le tour du monde, qui permet de faire tournoyer son yoyo autour de lui et enfin la technique pile ou face, qui permet de lancer son yoyo en l’air et de gagner un boost de puissance en appuyant sur la touche action au bon moment pour renvoyer le yoyo quand il retombe).

Il faudra donc jouer avec les techniques et conserver celles avec lesquelles vous êtes le plus à l’aise en fonction des situations auxquelles vous êtes confrontés. Les techniques actives quant à elles sont utilisables à loisir à partir du moment où elles ont été apprises. Elles permettent généralement de gagner des capacités de déplacement supplémentaires, comme la possibilité de se déplacer sur l’eau, mais aussi contre les murs. Un bon moyen de progresser dans des zones auparavant inaccessibles.

Lancer de yoyo capitaliste !

Pipistrello and The Cursed Yoyo Outre les capacités actives que l’on débloquera de façon scripté au cours de l’aventure et celles d’attaque et de défense que l’on pourra apprendre de certains PNJs que l’on croisera au cours de notre aventure, il est également possible de débloquer pas loin de 26 améliorations via un arbre de compétences, mais avec une petite particularité… capitaliste ! Vous réaliserez très vite que l’argent et la société de consommation sont les principaux moteurs de l’histoire. Ainsi, après avoir retrouvé votre cousine Pépita et votre cousin Pippo, vous pourrez compter sur leur aide pour progresser… Mais à New Volt City, on n’a rien sans rien et il faudra de l’argent pour qu’ils vous filent un coup de main. Ainsi Pépita vous permettra de faire évoluer votre arbre de compétences moyennant des contrats que vous signerez avec elle. Vous signerez donc un « prêt » pour une capacité (même si vous avez l’argent nécessaire, un prêt est fait). La signature du prêt impose donc son remboursement (et ainsi 50% du montant des pièces que vous remporterez sera consacré à rembourser Pépita), mais ce n’est pas tout ! L’achat d’une compétence s’accompagne en plus d’un malus le temps du prêt (baisse du nombre de point de vie maximum, baisse de la puissance d’attaque, etc.).

Même son de cloche du côté de chez Pippo, qui pour sa part vous permettra de faire évoluer vos « badges », où d’en construire des nouveaux à partir des plans que vous dégoterez durant votre partie… Bien entendu, il faudra débourses des espèces sonnantes et trébuchantes pour faire bosser Pippo ! Bah oui c’est ça la société de consommation, c’est pas des Pipistrello pour rien !

Voilà l’occasion de parler des badges… Il s’agit de capacités actives que vous pourrez affecter à Pippit dans la limite de ses PB (points badges). Certains badges vous permettront ainsi d’activer des attaques chargées plus rapidement, ou encore de laisser une trainée enflammée après avoir lancé votre yoyo, ou encore de vous restaurer plus de points de vie lorsque vous ressusciterez pour recommencer une salle. Bien évidemment, plus les badges sont intéressants, plus ils ont de la valeur en points de badge. Vous commencerez avec 3 points, mais il sera possible (et indispensable) d’augmenter cette capacité soit en débloquant des compétences chez Pépita, ou en ramassant des réceptacles de PB (1 PB supplémentaire tous les 2 réceptacles de PB trouvés). Il en va de même pour les points de vie, qui pourront être augmentés soit grâce à Pépita, soit en trouvant des réceptacles de vie (ici il en faudra 8 pour obtenir un nouveau cœur !) Pour faciliter vos déplacements dans toute la ville, vous pourrez compter sur des taxis (dont il faudra acheter les emplacements au préalable), et qu’il conviendra de payer pour la course effectuée… Euh oui, on vous l’a déjà dit, rien n’est gratuit dans la ville de Pippit !

Vous l’avez compris, il y a énormément de choses à trouver et à débloquer et ce côté évolution moyennant la perte d’argent, rappelle l’évolution des personnages via les points d’expérience dans les RPGs « classiques ».

Des yoyos sans trop de bas

Outre les nombreuses choses à découvrir et à débloquer, le jeu propose une histoire vraiment intéressante et dans l’air du temps (notamment sur la société de consommation, les constructions à outrance sans se soucier des conséquences sur l’environnement, la malbouffe, etc.). Le tout vu à travers le prisme un peu humoristique de cet univers anthropomorphique mais qui s’avère plutôt philosophique !

L’histoire proposera d’ailleurs quelques rebondissements, notamment avec les affrontements contre les boss qui, assez classiques au début, proposeront des challenges originaux pour la suite (imaginez un match de foot truqué pour lequel vous auriez parié sur vous-même, sans forcément le faire exprès…). L’autre richesse du jeu est très clairement sa diversité et la liberté offerte dans certains déplacements, au gré des nouvelles capacités acquises. En effet, certains passages pourront être franchis de plusieurs façons différentes, une bonne façon de se remuer les méninges. Certaines salles vous demanderont de réfléchir à quelles capacités il sera nécessaire de faire appel ou vers la fin, quel enchainement de capacités il faudra réussir pour franchir un obstacle dans un temps assez court. Fort heureusement, le jeu se prend assez facilement en main et s’avère plutôt accessible. Les points de sauvegardes sont nombreux et pour la plupart très arrangeants (vous évitant d’avoir à refaire plusieurs tableaux avant de retourner à l’endroit où vous étiez au moment de votre mort). Si cela ne suffit pas, sachez que la difficulté du titre est entièrement modulable. Vous pourrez ainsi vous octroyer des points de vie supplémentaires, une puissance d’attaque multipliée ou encore la possibilité de ne pas perdre de point de vie si vous faites une mauvaise chute. À vous de jongler avec les différentes options proposées pour créer une expérience de jeu agréable sans être trop frustrante par la difficulté ou lassante par la simplicité. Les paramètres sont d’ailleurs modifiables à loisir durant la partie, sans que cela n’impacte votre progression.

Nous avons également apprécié l’ambiance plus urbaine proposée par le titre, qui change un peu des sempiternelles forêts et mondes enchantées. Ici, on se promène dans une ville, avec ses zones en construction, son cinéma, son stade de foot ou encore ses fast-foods…

Votre avancée sera ponctuée par des énigmes dans les différentes salles à traverser, la plupart vous demandant de trouver le meilleur enchainement de capacités pour progresser, alors que d’autres (parfois un peu plus lassantes à la longue et un chouille difficiles pour certaines), vous demanderont d’affronter des vagues d’ennemis redoutables… Mais dans certains cas, un lancer de yoyo dans le bon angle permettra de réaliser un bon coup de ménage assez rapidement.

De l’or au bout du fil

Pipistrello and The Cursed Yoyo La direction artistique de Pipistrello and the Cursed Yoyo est impeccable ! Rappelant (très volontairement), les jeux sortis sur Game Boy Advance, le titre se targue en plus de proposer des très beaux effets de lumière et une maniabilité aux petits oignons (une composante indispensable pour ce genre de titres où les phases de plateformes sont très présentes). Le pixel art est vraiment très beau et chaque personnage est immédiatement reconnaissable, les animations ne sont pas en reste et la diversité des zones parcourues font qu’on ne se lasse pas.

Il en va de même pour la bande-son qui propose tout une gamme de musiques toujours en adéquation avec les endroits que l’on traverse. Le jeu propose également toute une gamme d’options graphiques, permettant notamment de lisser ou non les graphismes ou encore d’activer un filtre LCD pour accentuer le côté rétro. Encore une fois, à l’image du personnage que l’on incarne, le jeu est personnalisable à souhait et il faut avouer que c’est une possibilité plutôt sympathique.

Techniquement le jeu tient bien la route, même si nous avons constaté à quelques rares occasions des ralentissements inexpliqués dans les égouts. Ralentissements d’autant plus surprenants qu’ils n’étaient pas systématiques aux mêmes endroits et avaient tendance à disparaitre lorsque nous relancions la partie. Ce n’est pas forcément bloquant, mais cela fait partir des quelques rares points négatifs que nous avons constaté lors de notre progression…

Comptez d’ailleurs une bonne quinzaine d’heures pour voir la fin de l’histoire et rajoutez en bien 5 à 10 pour espérer finir le jeu à 100% !

Ppistrello and the Cursed Yoyo est disponible sur l’eShop au prix de 19,99 euros et une démo est disponible si vous souhaitez tester le jeu avant de l’acheter !

Conclusion

8.6 /10

Attention, pépite ! Les aventures de Pippit sont un véritable bonheur à parcourir, présenté comme un Metroidvania… enfin un Yoyovania, le jeu rappelle également les aventures sur Game Boy de Link (on pense à Link’s Awakening évidemment). Pipistrllo aurait pu sortir à l’époque sur Game Boy Advance et faire un carton, l’occasion fait le larron et il a tout pour réussir cet exploit sur Nintendo Switch ! Un univers riche, beaucoup d’exploration, de la réflexion, des combats de boss originaux, une difficulté entièrement modulable et une histoire intéressante avec plein de petites références… Qui eut crû qu’une pipistrelle armée d’un yoyo pourrait dégager une telle aura ? On vous recommande vivement ce titre, à ranger à côté des meilleurs jeux indépendants !

LES PLUS

  • L’histoire intéressante à suivre
  • Les nombreux badges à trouver
  • Le côté réflexion de certains tableaux
  • La diversité des combats contre les boss
  • L’humour et les références
  • La difficulté entièrement modulable

LES MOINS

  • Certains passages un peu chauds
  • Les ralentissements aléatoires dans les égouts

Détail de la note

  • Graphismes 0
  • Histoire 0
  • Maniabilité 0
  • Accessibilité 0
  • Durée de vie 0
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Traducteur. Illustrateur à ses heures perdues. => https://instagram.com/djuborregan Testeur. Recherche un portail dimensionnel plus grand.

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8.6
Pipistrello and the Cursed Yoyo
Date de sortie : 28/05/2025

Note finale

8.6
  • Graphismes 0
  • Histoire 0
  • Maniabilité 0
  • Accessibilité 0
  • Durée de vie 0

LES PLUS

  • L’histoire intéressante à suivre
  • Les nombreux badges à trouver
  • Le côté réflexion de certains tableaux
  • La diversité des combats contre les boss
  • L’humour et les références
  • La difficulté entièrement modulable

LES MOINS

  • Certains passages un peu chauds
  • Les ralentissements aléatoires dans les égouts

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