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Drawing Carnival (Nintendo Switch) – Le test

LarryL par LarryL
9 janvier 2024
dans Tests Nintendo Switch
Temps de lecture: 7 mins
0
Drawing Carnival (Nintendo Switch) – Le test
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Dessiner sur la Nintendo Switch, c’est un rêve pour les petits comme les grands. Le tactile et la portabilité de la console donnent envie aux joueurs. Et pourtant, le nombre de jeux qui proposent un gameplay décent se compte sur les doigts de la main (Passpartout !). Nous voici avec Drawing Carnival, un free-to-play sur smartphone développé par Crazy Labs Limited (AMAZE!, Foot Clinic) et édité par les Polonais de QubicGames. Drawing Carnival est disponible sur l’eShop depuis le 25 novembre 2023 au prix de cinq euros… et la qualité est loin d’être au rendez-vous.

Avant de commencer le test, nous tenons à préciser que le jeu ne propose aucune traduction française. Un niveau basique en anglais est nécessaire pour jouer à Drawing Carnival.

Drawing Carnival, un jeu sans contenu…

Drawing Carnival Si nous devions définir la patte de Crazy Labs Limited, nous parlerions sans problème de mauvais goût. Entre les excréments à servir dans Dessert DIY, les ongles incarnés à retirer dans Foot Clinic, le développeur réussit très régulièrement à nous donner des haut-le-cœur. C’est donc avec appréhension que nous abordons ce test de Drawing Carnival, un jeu à destination d’un public plutôt jeune.

Le concept est simplissime. Nous tenons une sorte de galerie d’art et notre but est de dessiner pour gagner de l’argent. C’est dans l’idée assez sympathique et nous pensons aux Sims 2 sur DS qui nous permettait de faire des œuvres très étranges pour se faire un revenu stable.

En réalité, nous ne dessinons pas vraiment. Nous arrivons sur des tableaux déjà dessinés à trois quarts. Nous allons choisir notre technique de dessin et compléter le dernier quart. Il n’y a qu’une seule technique au début mais nous allons en débloquer de nouvelles.

Nous pouvons peindre, graffer, faire de la broderie diamant, de la peinture poudre ou du néon. Globalement, le gameplay revient au même. Il y a un bouton à appuyer et à arrêter au bon moment pour faire des traits parfaits.

Ensuite vient la colorisation (si vous choisissez la peinture), où il faudra juste recouvrir en quelques étapes le dessin des couleurs de votre choix (parmi un choix limité de quatre à sept couleurs).

Et c’est à peu près tout ce que propose le jeu. Faire de la broderie consiste à mettre les diamants sur les endroits indiqués. Pour le néon, il faudra juste peindre le tableau avant de faire les contours…

Le gameplay est très répétitif, incohérent, peu créatif, ennuyeux… De plus, il ne faut pas oublier que nous tenons une galerie d’art. À chaque fois que nous terminons un tableau, nous choisissons un cadre et nous le vendons !

Il y a quatre personnes qui vont venir pour acheter nos « chefs-d’œuvre » mais leur offre n’a pas de sens, ni de logique. Peu importe la technique, la façon dont nous peignons, la couleur choisie, le cadre, ce sont juste des chiffres aléatoires…

L’argent, par ailleurs, comme dans la plupart des jeux de Crazy Labs Limited, n’a qu’une utilité cosmétique. Nous allons acheter des décorations, du papier peint et du sol pour notre galerie, mais nous ne pourrons jamais choisir la couleur de ces derniers.

… et au gameplay fade

Drawing Carnival Parfois, nous aurons des dessins un peu spéciaux où nous devrons repeindre un petit bout où la peinture manque. Il faudra alors choisir entre trois couleurs pour être le plus proche possible de l’œuvre initiale. Cependant, nous n’avons jamais la bonne couleur en stock et nous ne pouvons qu’obtenir que deux étoiles sur trois à ce mini-jeu.

La progression est très lente et si au début nous débloquons de nouvelles techniques (pas très variées), nous terminons à la fin par débloquer des nouveaux cadres, souvent de très mauvais goûts. Au bout d’une vingtaine d’œuvres, nous retombons d’ailleurs sur les mêmes peintures…

Il y a finalement un mode dessin où nous pouvons refaire un des modèles du jeu. Allez-vous faire le Grinch, Jenna Ortega dans Mercredi ou bien La Jeune Fille À La Perle de Johannes Vermeer ? Les œuvres d’art ne sont pas très jolies et dès que nous finissons sur le bouton pour les terminer, elles disparaissent. Il n’y a aucun moyen de les admirer.

Le jeu est tactile et c’est bien plus agréable de remplir les choses avec le doigt qu’avec une manette. Drawing Carnival n’est pas traduit en français mais cela ne gêne pas vraiment à la compréhension. Un niveau basique en anglais est recommandé.

La durée de vie pour le prix de cinq euros est famélique. Impossible pour nous de vous recommander un jeu au contenu vide et au gameplay fade.

Les graphismes ne sont pas très beaux, et le mélange des peintures pique souvent les yeux. Si seulement nous aurions pu au moins réaliser de jolis dessins plutôt que ce que vous pouvez voir dans notre vidéo de gameplay juste en-dessous… La musique est répétitive mais nous ne prêtons pas vraiment attention à ça.

Conclusion

3 /10

Drawing Carnival est un jeu au gameplay fade, au contenu vide et à la progression ennuyeuse. Portage d’un mauvais free-to-play, il ne justifie à aucun moment une dépense de cinq euros. Attention, le jeu n’est pas traduit en français.

LES PLUS

  • Le jeu est tactile ?

LES MOINS

  • Aucune traduction française
  • Pas de dessin
  • Ennuyeux
  • Une progression lente et fade
  • Aucun contenu

Détail de la note

  • Durée de vie / Prix 0
  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0
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LarryL

LarryL

Se fait des films et en fait parfois. Peut vous tenir la jambe pendant des heures sur Ingmar Bergman ou le cinéma japonais des années 50.

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Note finale

3
  • Durée de vie / Prix 0
  • Gameplay 0
  • Graphismes 0
  • Bande-son 0

LES PLUS

  • Le jeu est tactile ?

LES MOINS

  • Aucune traduction française
  • Pas de dessin
  • Ennuyeux
  • Une progression lente et fade
  • Aucun contenu

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